IL Y A UNE CRAINTE QUI N'EST PAS DANS L'AMOUR CAR L'AMOUR PARFAIT BANNIT LA CRAINTE.
Dans un véritable amour, il n'y a pas de place pour la crainte car l'amour parfait chasse toute trace de peur (I Jean 4 : 18 - Transcription Kuen - Parole vivante). La crainte est l'élément numéro un qui empêche tout enfant de Dieu d'accomplir les œuvres que le Père a préparées d'avance pour lui.
Crainte = paralysie
Crainte = dépendance d'autrui
Crainte = châtiment, jugement
Crainte = appauvrissement.
Il y a la crainte de la maladie, mais aussi la crainte des hommes et celle-là n'est pas la moindre. La crainte du "qu'en dira-t-on" est une vraie chaîne.
J'ai servi dix-neuf ans le Seigneur au sein d'une dénomination qui interdit à la femme de parler en public, à l'exception des missionnaires de passage dans leur église. Une fois engagés à plein temps dans l'évangélisation, mon mari eut à subir de l'opposition parce que je prenais la parole en public. C'est par la bouche d'un vieux capitaine de l'Armée du Salut que Dieu me parla. Un matin, il me salua par ce verset : L'amour parfait bannit la crainte. Il ne me connaissait pas, mais Dieu lui donna cette parole pour me fortifier. Elle fit son chemin. Dieu me dit : Quand tu aimeras suffisamment les brebis perdues, tu ne t'occuperas plus de l'opinion des autres. C'est vrai, Seigneur, je ne les aimais pas encore assez !
L'amour parfait bannit la crainte sera désormais le bulldozer qui balayera toute opposition, en moi et autour de moi, pour accomplir l'œuvre de Dieu : faire connaître l'Évangile à toute créature. J'ai des amis qui ont raté la vocation que Dieu leur avait adressée parce qu'ils voulaient être agréés par les hommes. Ils se sont laissés enfermer dans un "système" et c'est pourquoi ils n'ont pu mener à bonne fin toutes les œuvres que Dieu avait préparées pour eux. Dieu aurait voulu leur donner davantage, mais il aurait fallu entrer dans la moisson, au lieu de quoi ils ont piétiné dans un enclos. En fait, ils craignaient plus les hommes qu'ils n'aimaient Dieu et les brebis perdues. Ils se consolent en agissant un peu, mais au fond de leur cœur, il y a la profonde amertume d'avoir raté leur vie, leur seule et unique vie.
Notre pays, notre génération attendent le message du salut, le message d'amour, et nous tournerions le dos aux besoins du monde à cause de la crainte des hommes ? Un de nos collègues fut appelé par Dieu à aller évangéliser les Peuls*. Le comité missionnaire lui refusa son soutien. Il partit cependant sans aucun appui matériel. Il souffrit beaucoup les deux ou trois premières années, sans eau, sans nourriture, éloigné de tout, dans un milieu musulman hostile au christianisme. Il dut creuser de ses propres mains un puits d'une vingtaine de mètres dans le roc. Des dons d'amis compréhensifs lui permirent de subsister. Au bout de deux ou trois ans, une centaine d'âmes avaient été gagnées. Il a obéi à Dieu. Il a banni la crainte des hommes. Son amour pour les Peuls fut plus fort que l'opposition des hommes. Dans le Royaume de Dieu, il verra des Peuls se réjouir.
Dans les années de guerre 1940-45, nous avions une femme de ménage athée. Elle en voulait à la société bourgeoise et pleurait misère tout le long du jour. Elle avait trois beaux enfants, un bon mari. Ils étaient pauvres, c'est vrai. Réfugiés espagnols de la guerre civile, ils avaient juste de quoi vivre. Mais ce qui me choquait chez elle, malgré mon jeune âge, c'était son attitude négative. Dès qu'elle arrivait le matin, elle engageait avec ma mère, toujours férue de politique et suivant de près les événements, de grandes discussions sur l'avenir. C'était des années "chaudes". Nous étions occupés par l'ennemi et de ce fait, qui aurait été indifférent ? Et, au travers de ces discussions, elle laissait passer des paroles de malédiction pour les uns, pour les autres, et pour elle; rien de positif. Hélas, elle perdit ses enfants les uns après les autres brusquement, puis son mari. Ses prévisions maléfiques se réalisèrent comme elle l'avait prévu.
Reconnaissez aujourd'hui devant Dieu que cette crainte vous a lié. Confessez-le à votre Père. Faites passer le salut d'autrui avant le souci du "Qu'en dira-t-on". Pensez que vous comparaîtrez devant Dieu et non devant ceux qui vous retiennent. Le Seigneur vous demandera de rendre compte des talents que vous avez reçus. Direz-vous : "Je les ai enfouis" ou bien "Père, les voici qui ont fructifié" ?
LA CLÉ DE DIEU POUR VOUS AUJOURD'HUI
Obéir à Dieu plutôt qu'aux hommes Soyez constructif :
Prenez une décision maintenant, faites la volonté de Dieu à tout prix.
* Peul: tribu africaine de religion musulmane.
Ecrivez nous à l'adresse suivante Impactmessageres@aol.com et visitez www.lireimpact.blogspot.com
mardi 31 mai 2011
lundi 30 mai 2011
UN MIRACLE CHAQUE JOUR
«IL Y A DE L'ESPÉRANCE POUR TOUS CEUX QUI VIVENT ET MÊME UN CHIEN VIVANT VAUT MIEUX QU'UN LION MORT» (Ecc. 9 : 4)
S'il est une chose qu'il m'est difficile de refuser, c'est la demande muette que traduisent les yeux d'un chien qui me regarde manger ... Quelle espérance dans ce regard ! Quelle patience touchante dans cette attitude ! Je ne puis trahir une telle demande. L'espérance est attachée à la vie et la foi ne peut que puiser dans l'espérance.
Avez vous bien pensé à ce texte d'Hébreux 11 : 1 ? "La foi est une ferme assurance des choses qu'on espère... »
Retournons ce verset : si tu n'espères rien, comment croire et que croire ? C'est seulement si j'espère quelque chose que je peux mettre ma foi en action. Beaucoup de chrétiens font de la dépression parce qu'ils n'espèrent plus rien de la vie. Soit parce que le milieu familial est infernal, la servitude trop lourde, ou encore parce que tous les efforts faits dans une direction n'ont abouti à rien. Or, si on retire l'espérance de sa vie, il ne reste que la mort.
Toute expérience de foi passe obligatoirement par l'espérance. Bien des choses changeront dans notre vie si nous les prenons déjà en espérance et vivons avec elles. La version anglaise dit que : «La foi est la substance des choses qu'on espère ». Ce qui revient à dire que lorsque l'on espère fermement, les choses s'accomplissent car l'espérance a enfanté la foi.
Je n'étais jamais allé en Israël jusqu'au jour où j'ai espéré y aller. J'ai vécu chaque jour dans cette espérance qui est devenue substance de foi. Il ne faisait aucun doute pour moi que j'irais en Israël. La foi est une démonstration des choses qu'on ne voit pas, j'ai donc fait la démonstration de ma foi en retenant une place dans le prochain voyage organisé qui se présentait à moi. Je m'inscrivis donc sans argent. Cela n'avait aucune importance puisque j'étais convaincu et que c'était comme si j'avais l'argent dans la main. La première somme reçue après mon inscription était un don de 20 Frs. Immédiatement, je la déposais en offrande au Seigneur. Elle me revint quelques jours après, multipliée par dix. Là encore, je l'apportais au Seigneur en offrande. Quelques jours passèrent puis deux amis me téléphonèrent : «André, n'aimerais tu pas aller en Israël ? Le Seigneur a mis sur mon coeur de t'offrir la moitié du voyage ».
Ces deux amis s'étaient concertés et avaient sur le coeur de m'offrir le billet et les frais du voyage. J'ai donc reçu selon ma foi. Ma foi était née de mon espérance. Si je n'avais pas espéré aller en Israël, je n'y serais pas allé. Mais lorsque j'ai espéré, j'ai agi dans cette direction et j'ai vécu avec mon espérance. Elle faisait partie de ma vie.
Si vous espérez intellectuellement, vous ne recevrez rien car la foi ne se nourrit pas de matière grise.
La foi est une ferme assurance des choses qu'on espère dans son cœur.
Dieu nous a laissé la liberté d'espérer vivre certaines choses ou de les recevoir. N'est ce pas fantastique ?
Quelles sont les choses que vous espérez ? Quelles sont les expériences que vous espérez ? Quelles sont les victoires que vous espérez ? Vivez avec vos projets. Soyez des enfants. Par leurs jouets, ils vivent des réalités. Leurs bouts de bois, en espérance, se transforment en bateaux ou en avions.
Bien des chrétiens ne vivent qu'avec la crainte de manquer à leurs devoirs. Ils n'espèrent rien car déjà leur esprit est handicapé et captif de leurs appréhensions. La vie a perdu toute saveur, toute couleur, toute odeur. Ils vivent dans la grisaille de leur esprit tourmenté. Le pire, c'est que rien de concret ne motive cet état. Ils ne savent pas exactement pourquoi ils sont ainsi. La crainte s'est emparée d'eux et s'ils ont connu l'espérance au temps du premier amour, elle a disparu et ils vivent sans objectif, sans joie.
Mes jours s'évanouissent, plus d'espérance (Job 7 : 6).
A toi, mon frère ou ma sœur, je dis : espère, espère, espère. Fixe un objectif d'espérance : le salut ou la guérison de quelqu'un qui t'est cher, la délivrance d'un infirme, le retour à la prospérité, une situation compliquée va s'arranger, bien s'arranger. Pour avoir espéré et possédé, les anciens ont obtenu un témoignage favorable (Hébreux 11 : 2). Comme la cruche va à la fontaine pour y être remplie, remplis maintenant ton cœur d'espérance. Il se videra de sa tristesse ou de son angoisse. La vie va reprendre le dessus parce que Dieu nous a créé pour espérer.
Dites avec Jérémie :
Voici ce que je veux repasser en mon cœur, ce qui me donnera de l'espérance. Les bontés de l'Éternel ne sont pas épuisées, ses compassions ne sont pas à leur terme. Elles se renouvellent chaque matin. (Lamentations de Jérémie 3 : 22).
LA CLÉ DE DIEU POUR VOUS AUJOURD'HUI
Je crois cette parole et la fais mienne aujourd'hui :
J'inscris sur une feuille ce en quoi j'espère et je déclare vivre avec cette espérance, la faisant entrer concrètement dans ma vie et comptant avec elle dans tous mes projets.
QUELQUE CHOSE DE BON EST EN ROUTE POUR VENIR A MOI.
S'il est une chose qu'il m'est difficile de refuser, c'est la demande muette que traduisent les yeux d'un chien qui me regarde manger ... Quelle espérance dans ce regard ! Quelle patience touchante dans cette attitude ! Je ne puis trahir une telle demande. L'espérance est attachée à la vie et la foi ne peut que puiser dans l'espérance.
Avez vous bien pensé à ce texte d'Hébreux 11 : 1 ? "La foi est une ferme assurance des choses qu'on espère... »
Retournons ce verset : si tu n'espères rien, comment croire et que croire ? C'est seulement si j'espère quelque chose que je peux mettre ma foi en action. Beaucoup de chrétiens font de la dépression parce qu'ils n'espèrent plus rien de la vie. Soit parce que le milieu familial est infernal, la servitude trop lourde, ou encore parce que tous les efforts faits dans une direction n'ont abouti à rien. Or, si on retire l'espérance de sa vie, il ne reste que la mort.
Toute expérience de foi passe obligatoirement par l'espérance. Bien des choses changeront dans notre vie si nous les prenons déjà en espérance et vivons avec elles. La version anglaise dit que : «La foi est la substance des choses qu'on espère ». Ce qui revient à dire que lorsque l'on espère fermement, les choses s'accomplissent car l'espérance a enfanté la foi.
Je n'étais jamais allé en Israël jusqu'au jour où j'ai espéré y aller. J'ai vécu chaque jour dans cette espérance qui est devenue substance de foi. Il ne faisait aucun doute pour moi que j'irais en Israël. La foi est une démonstration des choses qu'on ne voit pas, j'ai donc fait la démonstration de ma foi en retenant une place dans le prochain voyage organisé qui se présentait à moi. Je m'inscrivis donc sans argent. Cela n'avait aucune importance puisque j'étais convaincu et que c'était comme si j'avais l'argent dans la main. La première somme reçue après mon inscription était un don de 20 Frs. Immédiatement, je la déposais en offrande au Seigneur. Elle me revint quelques jours après, multipliée par dix. Là encore, je l'apportais au Seigneur en offrande. Quelques jours passèrent puis deux amis me téléphonèrent : «André, n'aimerais tu pas aller en Israël ? Le Seigneur a mis sur mon coeur de t'offrir la moitié du voyage ».
Ces deux amis s'étaient concertés et avaient sur le coeur de m'offrir le billet et les frais du voyage. J'ai donc reçu selon ma foi. Ma foi était née de mon espérance. Si je n'avais pas espéré aller en Israël, je n'y serais pas allé. Mais lorsque j'ai espéré, j'ai agi dans cette direction et j'ai vécu avec mon espérance. Elle faisait partie de ma vie.
Si vous espérez intellectuellement, vous ne recevrez rien car la foi ne se nourrit pas de matière grise.
La foi est une ferme assurance des choses qu'on espère dans son cœur.
Dieu nous a laissé la liberté d'espérer vivre certaines choses ou de les recevoir. N'est ce pas fantastique ?
Quelles sont les choses que vous espérez ? Quelles sont les expériences que vous espérez ? Quelles sont les victoires que vous espérez ? Vivez avec vos projets. Soyez des enfants. Par leurs jouets, ils vivent des réalités. Leurs bouts de bois, en espérance, se transforment en bateaux ou en avions.
Bien des chrétiens ne vivent qu'avec la crainte de manquer à leurs devoirs. Ils n'espèrent rien car déjà leur esprit est handicapé et captif de leurs appréhensions. La vie a perdu toute saveur, toute couleur, toute odeur. Ils vivent dans la grisaille de leur esprit tourmenté. Le pire, c'est que rien de concret ne motive cet état. Ils ne savent pas exactement pourquoi ils sont ainsi. La crainte s'est emparée d'eux et s'ils ont connu l'espérance au temps du premier amour, elle a disparu et ils vivent sans objectif, sans joie.
Mes jours s'évanouissent, plus d'espérance (Job 7 : 6).
A toi, mon frère ou ma sœur, je dis : espère, espère, espère. Fixe un objectif d'espérance : le salut ou la guérison de quelqu'un qui t'est cher, la délivrance d'un infirme, le retour à la prospérité, une situation compliquée va s'arranger, bien s'arranger. Pour avoir espéré et possédé, les anciens ont obtenu un témoignage favorable (Hébreux 11 : 2). Comme la cruche va à la fontaine pour y être remplie, remplis maintenant ton cœur d'espérance. Il se videra de sa tristesse ou de son angoisse. La vie va reprendre le dessus parce que Dieu nous a créé pour espérer.
Dites avec Jérémie :
Voici ce que je veux repasser en mon cœur, ce qui me donnera de l'espérance. Les bontés de l'Éternel ne sont pas épuisées, ses compassions ne sont pas à leur terme. Elles se renouvellent chaque matin. (Lamentations de Jérémie 3 : 22).
LA CLÉ DE DIEU POUR VOUS AUJOURD'HUI
Je crois cette parole et la fais mienne aujourd'hui :
J'inscris sur une feuille ce en quoi j'espère et je déclare vivre avec cette espérance, la faisant entrer concrètement dans ma vie et comptant avec elle dans tous mes projets.
QUELQUE CHOSE DE BON EST EN ROUTE POUR VENIR A MOI.
vendredi 27 mai 2011
« Coeurs de femmes pour la Réunion » du 10 AU 15 JUIN 2011
Coeurs de femmes pour la Réunion »
Groupe inter-assemblées d’intercession et louange .
Vous invite à une semaine de pentecôte avec :
Sergine Snanoudj
Sergine SNANOUDJ et son mari, André sont évangélistes et fondateurs de l’oeuvre
"Impact du plein évangile" à Panassac dans le Gers (France) .ils ont participé à de
nombreuses croisades au Congo, Burkina Faso, côte d'ivoire, et dans plusieurs
pays de l'est. Leur ministère est centré sur: comment gagner des âmes au
seigneur, mais aussi, accompagné de la délivrance et la guérison. Ils ont
actuellement un ministère d'évangélisation sur plusieurs chaînes télévisées: TBN
Enlace , HolyGod et Biblica TV. Ils sont auteurs de nombreux livres .
Vendredi 10 juin : 18h30‐20h30 CEP Bois d’Olives ,Chemin Balzanine
N° 0692 10 89 63 /0692 77 85 59
Samedi 11 juin : Journée de femmes 9h ‐11h30 / 13h15‐16h Eglise de
Dieu 3 Mares (la Chatoire , à côté Clinique Durieux ) Rue de France
N° 0692 25 00 28 / N° 0 692 31 71 82
Dimanche 12 juin : Culte en commun Eglise Flamme de Vie ( Eglise
baptiste de la Saline ‐ Piton Hyacinthe )Bois d’Olives
N° 0 692 31 00 81/0 692 27 72 62
Lundi 13 juin : Intercession avecʺ Coeurs de femmes pour la Réunionʺ
Mardi 14 juin : 18h30/20h30 Bonne nouvelle 3Mares N°0692 88 71 68
Mercredi 15 juin :Eglise Baptiste Saline les Bains / St Denis /Souffle
Nouveau .Rd point Jardin d’Eden , déviation Saline direction Trou d’eau ,
2 rond points , à gauche direction plate forme ULM .
N° 0692 85 70 83 /0692 48 92 00
UN MIRACLE CHAQUE JOUR
IL ME FAUT LA PERSÉVÉRANCE : DIEU ME LA DONNE AUJOURD'HUI.
N'abandonnez donc pas cette ferme assurance à laquelle est promise une si grande récompense. Il vous faut de la persévérance si vous voulez accomplir la volonté de Dieu et entrer en possession des biens qu'il vous a promis (Hébreux 10 : 35 Transcription Kuen Parole Vivante).
Bien des chrétiens pensent que toute action voulue de Dieu doit s'accomplir sans embûche ni opposition. S'il y a des difficultés, ce n'est pas de Dieu, disent-ils. Tout doit donc arriver «servi sur un plateau», selon l'expression populaire. A l'heure de la mort, ils attendent encore!
Plus je lis les Écritures de la Genèse à l'Apocalypse, plus je constate que les plus grands desseins de Dieu ont été éprouvés jusqu'à être renversés. Reprenons l'exemple d'Abraham qui fut conduit à immoler Isaac, sa postérité, née d'une vieille femme stérile. Cette postérité est éprouvée jusqu'à la mort avant de se multiplier comme les sables du rivage.
Au passage de la mer Rouge, c'est très exactement in extremis que la mer Rouge s'ouvre. Pendant les quarante ans au désert, avant d'arriver dans la terre de Canaan, pays promis, le peuple d'Israël est éprouvé par la soif, par la faim, par la maladie, par la guerre, par la tentation.
Mais grâce à Moïse, l'eau jaillit du rocher pour étancher la soif, Dieu envoie la manne et fait dresser le serpent pour guérir.
Moïse, lui-même, cette figure du Christ libérateur, l'instrument qui opère les prodiges, est éprouvé chaque jour par ce peuple au cou raide mais aimé de Dieu.
Nous aussi nous serons et devons être éprouvés dans les oeuvres que nous accomplissons pour Dieu afin de manifester la persévérance, qui produit la patience et engendre l'exaucement.
Dans l'épreuve de la persévérance, beaucoup de chrétiens lâchent prise : leur chair souffre, leur foi est éprouvée, et leur position inconfortable; ils cherchent des moyens humains pour y échapper, des palliatifs. Ils font avorter l'exaucement, arrêtent le bras de Dieu, levé pour agir. Oui, notre chair est dans l'inconfort sur le terrain de la foi.
Imaginez-vous à la place d'Abraham, de Noé, de David devant Goliath, de Daniel dans la fosse aux lions.
La foi totale prévaut sur tous les obstacles, sur l'inconfort. La foi éprouvée est récompensée par la joie de l'exaucement. La persévérance est l'expression de la foi éprouvée et elle conduit à l'exaucement. Beaucoup ont la foi (technique) mais peu entrent dans la persévérance. La persévérance (foi en action) doit être soutenue par la vision de ce que l'on a reçu, la prière, la lecture des Écritures, le jeûne.
Appuyons-nous sur la Parole de Dieu. Fortifions-nous par la prière, les louanges, les actions de grâces, les chants spirituels, le parler en langues. Ayons de l'amour pour les hommes qui ne connaissent pas Dieu. La vision céleste et la fidélité de Dieu sont les combustibles qui alimentent la persévérance.
LA CLÉ DE DIEU POUR VOUS AUJOURD'HUI
Demandez instamment à Dieu la PERSÉVÉRANCE et acceptez de vous
LAISSER FAÇONNER PAR LUI.
N'abandonnez donc pas cette ferme assurance à laquelle est promise une si grande récompense. Il vous faut de la persévérance si vous voulez accomplir la volonté de Dieu et entrer en possession des biens qu'il vous a promis (Hébreux 10 : 35 Transcription Kuen Parole Vivante).
Bien des chrétiens pensent que toute action voulue de Dieu doit s'accomplir sans embûche ni opposition. S'il y a des difficultés, ce n'est pas de Dieu, disent-ils. Tout doit donc arriver «servi sur un plateau», selon l'expression populaire. A l'heure de la mort, ils attendent encore!
Plus je lis les Écritures de la Genèse à l'Apocalypse, plus je constate que les plus grands desseins de Dieu ont été éprouvés jusqu'à être renversés. Reprenons l'exemple d'Abraham qui fut conduit à immoler Isaac, sa postérité, née d'une vieille femme stérile. Cette postérité est éprouvée jusqu'à la mort avant de se multiplier comme les sables du rivage.
Au passage de la mer Rouge, c'est très exactement in extremis que la mer Rouge s'ouvre. Pendant les quarante ans au désert, avant d'arriver dans la terre de Canaan, pays promis, le peuple d'Israël est éprouvé par la soif, par la faim, par la maladie, par la guerre, par la tentation.
Mais grâce à Moïse, l'eau jaillit du rocher pour étancher la soif, Dieu envoie la manne et fait dresser le serpent pour guérir.
Moïse, lui-même, cette figure du Christ libérateur, l'instrument qui opère les prodiges, est éprouvé chaque jour par ce peuple au cou raide mais aimé de Dieu.
Nous aussi nous serons et devons être éprouvés dans les oeuvres que nous accomplissons pour Dieu afin de manifester la persévérance, qui produit la patience et engendre l'exaucement.
Dans l'épreuve de la persévérance, beaucoup de chrétiens lâchent prise : leur chair souffre, leur foi est éprouvée, et leur position inconfortable; ils cherchent des moyens humains pour y échapper, des palliatifs. Ils font avorter l'exaucement, arrêtent le bras de Dieu, levé pour agir. Oui, notre chair est dans l'inconfort sur le terrain de la foi.
Imaginez-vous à la place d'Abraham, de Noé, de David devant Goliath, de Daniel dans la fosse aux lions.
La foi totale prévaut sur tous les obstacles, sur l'inconfort. La foi éprouvée est récompensée par la joie de l'exaucement. La persévérance est l'expression de la foi éprouvée et elle conduit à l'exaucement. Beaucoup ont la foi (technique) mais peu entrent dans la persévérance. La persévérance (foi en action) doit être soutenue par la vision de ce que l'on a reçu, la prière, la lecture des Écritures, le jeûne.
Appuyons-nous sur la Parole de Dieu. Fortifions-nous par la prière, les louanges, les actions de grâces, les chants spirituels, le parler en langues. Ayons de l'amour pour les hommes qui ne connaissent pas Dieu. La vision céleste et la fidélité de Dieu sont les combustibles qui alimentent la persévérance.
LA CLÉ DE DIEU POUR VOUS AUJOURD'HUI
Demandez instamment à Dieu la PERSÉVÉRANCE et acceptez de vous
LAISSER FAÇONNER PAR LUI.
jeudi 26 mai 2011
UN MIRACLE CHAQUE JOUR
IL FAUT CROIRE EN JÉSUS POUR ÊTRE SAUVE.
Faut-il croire en Jésus pour être sauvé ? Cette question m'est de plus en plus posée. Ce n'est pas mon opinion personnelle que je veux vous donner, mais je veux chercher pour vous la pensée de Dieu dans les Écritures.
La plus grande et la plus douloureuse des actions accomplies sur cette terre par Dieu le Père est l'envoi de son Fils unique, Jésus-Christ, afin que quiconque croit en lui ne périsse point mais qu'il ait la vie éternelle (Jean 3 : 15).
Dieu a envoyé Jésus afin de réconcilier tout avec lui-même, tant ce qui est sur la terre que ce qui est dans les cieux en faisant la paix par lui, par le sang de sa Croix (Col. 1 : 20). C'est Jésus qui nous dit : Celui qui croit en moi vivra quand même il serait mort (Jean 11 : 25). Il dit aussi : C'est pourquoi quiconque me confessera devant les hommes, je le confesserai aussi devant mon Père qui est dans les cieux (Matthieu 10 : 32).
Ces passages nous montrent bien que Jésus a été envoyé par le Père pour sauver ceux qui sont perdus. Je suis venu chercher et sauver ce qui était perdu (Luc 19 : 10). Mais certains posent cette question : «Qu'en est il de ceux qui croient en d'autres dieux, de ceux qui suivent la doctrine de Bouddha ou de Mahomet? N'est-ce pas le même dieu ?» Non, pas du tout. Il y a un seul Dieu et Père (Cf. Ephés. 4 : 6).
Et il n'y a de salut en aucun autre. Car il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes par lequel nous devions être sauvés (Actes 4: 12). Je pense que ce verset répond parfaitement à la question en même temps que cet autre : Car il y a un seul Dieu et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus Christ, homme, qui s'est donné lui même en rançon pour tous (1 Tim. 2: 5), qu'ils soient jaunes, rouges, blancs ou noirs.
C'est pourquoi la mission que Jésus donne à ses disciples c'est d'aller partout annoncer cette bonne nouvelle du Salut en son Nom. L'apôtre Paul disait : Malheur à moi si je n'annonce l'Évangile (I Cor. 9 : 16). Les disciples se mirent à l'ouvre parcourant toutes les villes et les villages d'Asie et au delà, pour annoncer le Salut en Jésus. L'apôtre St Paul dit: Souvent en danger de mort ... battu de verges ... lapidé ... en voyage ... en péril sur les fleuves, en péril de la part des brigands, en péril dans les villes ... en péril sur l amer... (II Cor. 11 : 23-26).
Dieu dit à Ézéchiel : Et toi, fils de l'homme, je t'ai établi comme sentinelle sur la maison d'Israël. Tu dois écouter la parole qui sort de ma bouche et les avertir de ma part. Quand je dis au méchant : méchant, tu mourras ! si tu ne parles pas pour détourner le méchant de sa voie, ce méchant mourra dans son iniquité, et je te redemanderai son sang. Mais situ avertis le méchant pour le détourner de sa voie et qu'il ne s'en détourne pas, il mourra dans son iniquité et toi, tu sauveras ton âme (Ezé. 33 : 7-9).
Dieu est formel : il nous demande d'avertir nos semblables, sinon il nous sera demandé des comptes. L'évangélisation est le travail numéro un pour Dieu. C'est pourquoi des hommes et des femmes sont appelés, depuis que le Christ a quitté cette terre, à aller vers ceux qui sont perdus. Paul disait à Timothée : Insiste à temps et hors de temps (II Tim. 4 : 2). Mais alors, qu'en est il de ceux qui n'ont pas entendu et qui ne se sont pas donnés à Jésus ?
Je m'en référerai à l'épître aux Romains, chapitre 2, versets 3 à 5 : Et penses tu, ô homme, qui juges ceux qui commettent de telles choses et qui les fais, que tu échapperas au jugement de Dieu? Ou méprises tu les richesses de sa bonté, de sa patience et de sa longanimité, ne reconnaissant pas que la bonté de Dieu te pousse à la repentance ? Mais par ton endurcissement et par ton cour impénitent, tu l'amasses un trésor de colère pour le jour de la colère et de la manifestation du juste jugement de Dieu, qui rendra à chacun selon ses oeuvres, réservant la vie éternelle à ceux qui, par leur persévérance à bien faire, cherchent l'honneur, la gloire et l'immortalité; mais l'irritation et la colère à ceux qui, par esprit de dispute, sont rebelles à la vérité et obéissent à l'injustice. Tribulation et angoisse sur toute âme d'homme qui fait le mal, sur le Juif premièrement puis sur le Grec car devant Dieu il n'y a point d'acception de personnes. Mais qu'en est il de ceux qui n'ont pas entendu ? des païens? Voici la réponse aux versets 13 à 16 : Ce ne sont pas en effet ceux qui écoutent la loi qui sont justes devant Dieu, mais ce sont ceux qui la mettent en pratique qui seront justifies. Quand les païens, qui n'ont point la loi, font naturellement ce que prescrit la loi, ils sont, eux qui n'ont point la loi, une loi pour eux mêmes; ils montrent que l'oeuvre de la loi est écrite dans leur cour, leur conscience en rendant témoignage, et leurs pensées s'accusant ou se défendant tour à tour. C'est ce qui paraîtra au jour où, selon mon évangile, Dieu jugera par Jésus-Christ les actions secrètes des hommes.
Mais le plan de Dieu est, avant tout, que tout homme entende la Bonne Nouvelle avant que Son Fils Jésus ne vienne prendre Son Église dans les cieux. Que la parabole du figuier au chapitre 24 versets 32 à 35 de Matthieu nous serve d'enseignement et retenons cette image : Quand les rameaux du figuier deviennent flexibles et qu'il lui pousse des feuilles, vous en concluez que l'été est proche. Ainsi, vous aussi, quand vous verrez tous ces événements se produire, vous pourrez être certains que le grand jour est proche et que le Seigneur est à la porte (Transcription Kuen, Parole Vivante).
Billy Graham disait, en octobre 78, lors d'une conférence de presse pour son soixantième anniversaire : «Comme jamais je ne l'ai encore vu, partout les portes s'ouvrent pour que la Bonne Nouvelle soit annoncée. Aux Indes, notamment, et en Extrême Orient où l'accès était difficile jusqu'à présent. Les continents retentissent de l'Évangile de Jésus par les médias : Télévision, radio
Vivons nous notre dernier printemps?» Arrivons nous à l'été du retour ? Dieu veille à ce que le salut de Son Fils soit annoncé partout avant de revenir.
Je vous laisserai le soin de conclure comme je le laisse à l'action du Saint Esprit en vous. Pouvons nous être sauvés sans livrer notre vie à Jésus ? Est il ou non la porte ? La mission de témoins n'est elle pas pour tous ceux qui croient et qui connaissent la perle de grand prix ? Pourrons nous nous disculper au grand jour lorsque nous n'aurons qu'un talent à présenter au maître ? Tous nos voisins et amis qui n'auront pas été avertis n'auront-ils pas le droit de nous accuser ?
Si chaque chrétien faisait connaître Jésus à ses voisins, il en serait comme du nettoyage de Paris, en cinq minutes, si chaque parisien nettoyait le devant de sa porte. C'est le courage qui manque, avouons-le ! Quant à moi : "Malheur à moi si je n'annonce pas Christ !". C'est Lui le Sauveur du monde.
LA CLÉ DE DIEU POUR VOUS AUJOURD'HUI
Commencez aujourd'hui à parler du salut
AUTOUR DE VOUS :
Je sais bien que vous ne pourrez en parler au monde entier; moi non plus !
Mais faites VOTRE COIN.
C'est peut-être le dernier printemps du monde !
Faut-il croire en Jésus pour être sauvé ? Cette question m'est de plus en plus posée. Ce n'est pas mon opinion personnelle que je veux vous donner, mais je veux chercher pour vous la pensée de Dieu dans les Écritures.
La plus grande et la plus douloureuse des actions accomplies sur cette terre par Dieu le Père est l'envoi de son Fils unique, Jésus-Christ, afin que quiconque croit en lui ne périsse point mais qu'il ait la vie éternelle (Jean 3 : 15).
Dieu a envoyé Jésus afin de réconcilier tout avec lui-même, tant ce qui est sur la terre que ce qui est dans les cieux en faisant la paix par lui, par le sang de sa Croix (Col. 1 : 20). C'est Jésus qui nous dit : Celui qui croit en moi vivra quand même il serait mort (Jean 11 : 25). Il dit aussi : C'est pourquoi quiconque me confessera devant les hommes, je le confesserai aussi devant mon Père qui est dans les cieux (Matthieu 10 : 32).
Ces passages nous montrent bien que Jésus a été envoyé par le Père pour sauver ceux qui sont perdus. Je suis venu chercher et sauver ce qui était perdu (Luc 19 : 10). Mais certains posent cette question : «Qu'en est il de ceux qui croient en d'autres dieux, de ceux qui suivent la doctrine de Bouddha ou de Mahomet? N'est-ce pas le même dieu ?» Non, pas du tout. Il y a un seul Dieu et Père (Cf. Ephés. 4 : 6).
Et il n'y a de salut en aucun autre. Car il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes par lequel nous devions être sauvés (Actes 4: 12). Je pense que ce verset répond parfaitement à la question en même temps que cet autre : Car il y a un seul Dieu et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus Christ, homme, qui s'est donné lui même en rançon pour tous (1 Tim. 2: 5), qu'ils soient jaunes, rouges, blancs ou noirs.
C'est pourquoi la mission que Jésus donne à ses disciples c'est d'aller partout annoncer cette bonne nouvelle du Salut en son Nom. L'apôtre Paul disait : Malheur à moi si je n'annonce l'Évangile (I Cor. 9 : 16). Les disciples se mirent à l'ouvre parcourant toutes les villes et les villages d'Asie et au delà, pour annoncer le Salut en Jésus. L'apôtre St Paul dit: Souvent en danger de mort ... battu de verges ... lapidé ... en voyage ... en péril sur les fleuves, en péril de la part des brigands, en péril dans les villes ... en péril sur l amer... (II Cor. 11 : 23-26).
Dieu dit à Ézéchiel : Et toi, fils de l'homme, je t'ai établi comme sentinelle sur la maison d'Israël. Tu dois écouter la parole qui sort de ma bouche et les avertir de ma part. Quand je dis au méchant : méchant, tu mourras ! si tu ne parles pas pour détourner le méchant de sa voie, ce méchant mourra dans son iniquité, et je te redemanderai son sang. Mais situ avertis le méchant pour le détourner de sa voie et qu'il ne s'en détourne pas, il mourra dans son iniquité et toi, tu sauveras ton âme (Ezé. 33 : 7-9).
Dieu est formel : il nous demande d'avertir nos semblables, sinon il nous sera demandé des comptes. L'évangélisation est le travail numéro un pour Dieu. C'est pourquoi des hommes et des femmes sont appelés, depuis que le Christ a quitté cette terre, à aller vers ceux qui sont perdus. Paul disait à Timothée : Insiste à temps et hors de temps (II Tim. 4 : 2). Mais alors, qu'en est il de ceux qui n'ont pas entendu et qui ne se sont pas donnés à Jésus ?
Je m'en référerai à l'épître aux Romains, chapitre 2, versets 3 à 5 : Et penses tu, ô homme, qui juges ceux qui commettent de telles choses et qui les fais, que tu échapperas au jugement de Dieu? Ou méprises tu les richesses de sa bonté, de sa patience et de sa longanimité, ne reconnaissant pas que la bonté de Dieu te pousse à la repentance ? Mais par ton endurcissement et par ton cour impénitent, tu l'amasses un trésor de colère pour le jour de la colère et de la manifestation du juste jugement de Dieu, qui rendra à chacun selon ses oeuvres, réservant la vie éternelle à ceux qui, par leur persévérance à bien faire, cherchent l'honneur, la gloire et l'immortalité; mais l'irritation et la colère à ceux qui, par esprit de dispute, sont rebelles à la vérité et obéissent à l'injustice. Tribulation et angoisse sur toute âme d'homme qui fait le mal, sur le Juif premièrement puis sur le Grec car devant Dieu il n'y a point d'acception de personnes. Mais qu'en est il de ceux qui n'ont pas entendu ? des païens? Voici la réponse aux versets 13 à 16 : Ce ne sont pas en effet ceux qui écoutent la loi qui sont justes devant Dieu, mais ce sont ceux qui la mettent en pratique qui seront justifies. Quand les païens, qui n'ont point la loi, font naturellement ce que prescrit la loi, ils sont, eux qui n'ont point la loi, une loi pour eux mêmes; ils montrent que l'oeuvre de la loi est écrite dans leur cour, leur conscience en rendant témoignage, et leurs pensées s'accusant ou se défendant tour à tour. C'est ce qui paraîtra au jour où, selon mon évangile, Dieu jugera par Jésus-Christ les actions secrètes des hommes.
Mais le plan de Dieu est, avant tout, que tout homme entende la Bonne Nouvelle avant que Son Fils Jésus ne vienne prendre Son Église dans les cieux. Que la parabole du figuier au chapitre 24 versets 32 à 35 de Matthieu nous serve d'enseignement et retenons cette image : Quand les rameaux du figuier deviennent flexibles et qu'il lui pousse des feuilles, vous en concluez que l'été est proche. Ainsi, vous aussi, quand vous verrez tous ces événements se produire, vous pourrez être certains que le grand jour est proche et que le Seigneur est à la porte (Transcription Kuen, Parole Vivante).
Billy Graham disait, en octobre 78, lors d'une conférence de presse pour son soixantième anniversaire : «Comme jamais je ne l'ai encore vu, partout les portes s'ouvrent pour que la Bonne Nouvelle soit annoncée. Aux Indes, notamment, et en Extrême Orient où l'accès était difficile jusqu'à présent. Les continents retentissent de l'Évangile de Jésus par les médias : Télévision, radio
Vivons nous notre dernier printemps?» Arrivons nous à l'été du retour ? Dieu veille à ce que le salut de Son Fils soit annoncé partout avant de revenir.
Je vous laisserai le soin de conclure comme je le laisse à l'action du Saint Esprit en vous. Pouvons nous être sauvés sans livrer notre vie à Jésus ? Est il ou non la porte ? La mission de témoins n'est elle pas pour tous ceux qui croient et qui connaissent la perle de grand prix ? Pourrons nous nous disculper au grand jour lorsque nous n'aurons qu'un talent à présenter au maître ? Tous nos voisins et amis qui n'auront pas été avertis n'auront-ils pas le droit de nous accuser ?
Si chaque chrétien faisait connaître Jésus à ses voisins, il en serait comme du nettoyage de Paris, en cinq minutes, si chaque parisien nettoyait le devant de sa porte. C'est le courage qui manque, avouons-le ! Quant à moi : "Malheur à moi si je n'annonce pas Christ !". C'est Lui le Sauveur du monde.
LA CLÉ DE DIEU POUR VOUS AUJOURD'HUI
Commencez aujourd'hui à parler du salut
AUTOUR DE VOUS :
Je sais bien que vous ne pourrez en parler au monde entier; moi non plus !
Mais faites VOTRE COIN.
C'est peut-être le dernier printemps du monde !
mardi 24 mai 2011
UN MIRACLE CHAQUE JOUR
LA PRIÈRE QUE JE FAIS EST COMME UNE GRAINE QUE JE PLANTE.
ou
MÊME LES OBSTACLES DEVIENNENT DES CHEMINS. MARCHER SUR LE CHEMIN DE SA PAROLE. MÊME LA MER DEVIENT UN CHEMIN SOUS NOS PAS. JE SAIS VRAIMENT QUE DIEU M'AIDE. LORSQUE NOUS MARCHONS SUR SA PAROLE, JÉSUS A PROMIS : "TOUT EST POSSIBLE A CELUI QUI CROIT".
Nous étions à Albi, en butte à des besoins matériels pressants. Les factures s'empilaient sur mon bureau et pas d'argent pour payer les dépenses de la colonie de vacances. Les constructions avaient absorbé toutes les pensions reçues, et il fallait à présent régler les factures alimentaires. Pas moyen de reporter. Nous étions au pied du mur !
Alors, avec Sergine, nous nous sommes mis à genoux au pied de notre lit, la Bible ouverte sur ce verset de la lettre aux Philippiens : Mon Dieu pourvoira à tous vos besoins, selon sa richesse avec gloire en Jésus-Christ (Phil. 4 : 19).
Nous avons eu cette parole pour débloquer la situation. C'était nos premières expériences de foi.
Nous avons planté en terre cette parole et remercié Dieu de son accomplissement. Quelques heures se sont écoulées, nous avons oublié nos soucis. Quelqu'un tambourine à la porte d'entrée (il y avait grève d'électricité) ! C'était une chrétienne de la communauté d'Albi qui était sur le seuil avec une mission à remplir de la part du Seigneur: "Je ne viens pas", dit-elle, "en visite de politesse, mais j'ai sur le cœur de vous offrir mes services pour vous aider matériellement, car j'ai été pressée par le Seigneur, qui m'a convaincue que vous aviez besoin d'un secours d'argent".
Dieu avait pourvu !
Si quelqu'un dit à cette montagne : ôte-toi de là et ne doute pas en son cour que ce qu'il dit arrive, il le verra s'accomplir.
Quelques fois l'exaucement met plus de temps à venir. Ma foi est alors davantage éprouvée, et je n'ai d'autre repère que celui des promesses de Dieu dans Sa Parole. Je continue alors à le confesser, et je mets en place toutes les positions dans l'axe de cet accomplissement.
La prière que nous avions faite avec Sergine était exaucée. J'ajouterai qu'elle déclencha la délivrance non seulement de cette facture imminente, mais encore de toutes celles qui étaient sur mon bureau.
Nos pensées négatives sont la preuve de la défaite, par contre si je continue à penser positivement et à agir dans ce sens, Dieu est honoré et il m'honore aussi par l'exaucement. Je suis lié à mes paroles et à mes pensées. Ce sont elles qui, en définitive, définissent si oui ou non j'ai confiance.
Dieu m'appelle à être comme voyant l'invisible et à ne pas être de ceux qui marchent par la vue.
La foi en action déroule un chemin sous mes pas. Jésus est le chemin et Ses Paroles sont ce chemin.
Il existe des abîmes dans ma vie, mais, par la Parole de Jésus, je jette le pont de ma foi et je passe. J'ai les matériaux dans la parole pour ce pont, mais c'est ma foi qui doit le construire.
LA CLÉ DE DIEU POUR VOUS AUJOURD'HUI
Pensez à cette sorte de puissance quand vous dites :
"LA PRIÈRE QUE JE FAIS EST UNE GRAINE QUE JE PLANTE".
ou
MÊME LES OBSTACLES DEVIENNENT DES CHEMINS. MARCHER SUR LE CHEMIN DE SA PAROLE. MÊME LA MER DEVIENT UN CHEMIN SOUS NOS PAS. JE SAIS VRAIMENT QUE DIEU M'AIDE. LORSQUE NOUS MARCHONS SUR SA PAROLE, JÉSUS A PROMIS : "TOUT EST POSSIBLE A CELUI QUI CROIT".
Nous étions à Albi, en butte à des besoins matériels pressants. Les factures s'empilaient sur mon bureau et pas d'argent pour payer les dépenses de la colonie de vacances. Les constructions avaient absorbé toutes les pensions reçues, et il fallait à présent régler les factures alimentaires. Pas moyen de reporter. Nous étions au pied du mur !
Alors, avec Sergine, nous nous sommes mis à genoux au pied de notre lit, la Bible ouverte sur ce verset de la lettre aux Philippiens : Mon Dieu pourvoira à tous vos besoins, selon sa richesse avec gloire en Jésus-Christ (Phil. 4 : 19).
Nous avons eu cette parole pour débloquer la situation. C'était nos premières expériences de foi.
Nous avons planté en terre cette parole et remercié Dieu de son accomplissement. Quelques heures se sont écoulées, nous avons oublié nos soucis. Quelqu'un tambourine à la porte d'entrée (il y avait grève d'électricité) ! C'était une chrétienne de la communauté d'Albi qui était sur le seuil avec une mission à remplir de la part du Seigneur: "Je ne viens pas", dit-elle, "en visite de politesse, mais j'ai sur le cœur de vous offrir mes services pour vous aider matériellement, car j'ai été pressée par le Seigneur, qui m'a convaincue que vous aviez besoin d'un secours d'argent".
Dieu avait pourvu !
Si quelqu'un dit à cette montagne : ôte-toi de là et ne doute pas en son cour que ce qu'il dit arrive, il le verra s'accomplir.
Quelques fois l'exaucement met plus de temps à venir. Ma foi est alors davantage éprouvée, et je n'ai d'autre repère que celui des promesses de Dieu dans Sa Parole. Je continue alors à le confesser, et je mets en place toutes les positions dans l'axe de cet accomplissement.
La prière que nous avions faite avec Sergine était exaucée. J'ajouterai qu'elle déclencha la délivrance non seulement de cette facture imminente, mais encore de toutes celles qui étaient sur mon bureau.
Nos pensées négatives sont la preuve de la défaite, par contre si je continue à penser positivement et à agir dans ce sens, Dieu est honoré et il m'honore aussi par l'exaucement. Je suis lié à mes paroles et à mes pensées. Ce sont elles qui, en définitive, définissent si oui ou non j'ai confiance.
Dieu m'appelle à être comme voyant l'invisible et à ne pas être de ceux qui marchent par la vue.
La foi en action déroule un chemin sous mes pas. Jésus est le chemin et Ses Paroles sont ce chemin.
Il existe des abîmes dans ma vie, mais, par la Parole de Jésus, je jette le pont de ma foi et je passe. J'ai les matériaux dans la parole pour ce pont, mais c'est ma foi qui doit le construire.
LA CLÉ DE DIEU POUR VOUS AUJOURD'HUI
Pensez à cette sorte de puissance quand vous dites :
"LA PRIÈRE QUE JE FAIS EST UNE GRAINE QUE JE PLANTE".
lundi 23 mai 2011
UN MIRACLE CHAQUE JOUR
DIEU VA AGIR EN MOI PAR L'INTERMÉDIAIRE DE MES BESOINS
ou C'EST DANS LE BESOIN QUE NOUS DÉCOUVRONS QUE DIEU EST NOTRE SEULE FORCE DE SÉCURITÉ.
Celui qui est à l'abri du besoin peut avoir la sensation que tout ira bien quoiqu'il arrive. Il se sent tellement en sécurité qu'il peut dire à son âme : « Mon âme, tu as beaucoup de biens en réserve pour plusieurs années : repose-toi, mange, bois et te réjouis » (Luc 12: 19). C'est en effet d'un homme semblable que Notre Seigneur parlait en parabole.
Cet homme n'avait aucun besoin de Dieu. Il pensait pouvoir contrôler sa propre vie. Il se permettait de parler à son âme et de lui faire considérer tous les biens qui l'entouraient. Il pensait que les biens de la terre pouvaient satisfaire les plus profonds désirs de son être intérieur, de son âme éternelle. C'est à ce moment-là que Dieu lui dit : « Insensé ! Cette nuit-même ton âme te sera redemandée, et ce que tu as préparé, pour qui cela sera-t-il ? » (Luc 12: 20). Et Jésus ajoute : « Mais vous, pour votre vie de chaque jour, considérez comment croissent les lys : ils ne travaillent ni ne filent; cependant je vous dis que Salomon dans toute sa gloire n'a pas été vêtu comme l'un d'eux. Si Dieu revêt ainsi l'herbe qui est aujourd'hui dans les champs et qui demain sera jetée au four, à combien plus forte raison ne vous vêtira-t-il pas, gens de peu de foi ? » En un mot, celui qui ne s'appuie que sur les humains n'a pas Dieu pour Père, car si Dieu prend soin du lys des champs, il peut certainement prendre soin de nous.
Alors que j'étais au volant de ma voiture, je réfléchissais à une fin de mois qui s'annonçait difficile, avec des notes à payer pour les divers frais de nos enfants : dentiste, gymnastique, piano, assurances. C'était la fin de l'année scolaire, au moment du départ en vacances. Le montant des frais dépassait largement mes avoirs. Ce souci voulait me tomber sur les épaules comme un carcan. C'est alors que cette parole de Jésus me vint à l'esprit : « Ne vous inquiétez donc pas du lendemain : car le lendemain aura soin de lui-même. A chaque jour suffit sa peine (Matthieu 6: 34) ». Je refusais immédiatement de penser au lendemain et je vécus le jour présent sans note à payer. Les jours suivants sont arrivés et les notes ont été payées sans difficultés.
Ces paroles : « Ne vous inquiétez pas du lendemain, votre père sait de quoi vous avez besoin », sont les paroles de Jésus les plus révolutionnaires. Elles sont pour tous les temps : pour l'homme de notre génération, agité, troublé, courbé par les responsabilités de ses fonctions. S'il prend au mot cette parole, il connaîtra le repos, la paix, toute sa vie. Il verra tous ses problèmes se dénouer. Jésus ne dit pas : si vous avez des problèmes, moquez-vous en, soyez indifférent, négligent ... non, il dit : « Votre Père sait... », Mais vous, recherchez en premier le royaume et la justice de Dieu et toutes choses dont vous aurez besoin vous seront données par surcroît.
Si nous voulons polariser nos efforts sur le royaume de Dieu, croyez-moi, nous serons autant occupés qu'un ministre peut l'être avec les affaires de l'Etat. Nous n'aurons guère le temps de penser aux nôtres.
Un jour, mon mari était accablé en raison d'une facture de la télévision qui avait dépassé l'échéance. Nous étions dans un esprit de jeûne et de prière. Mais ce souci l'étreignait. Il descendit au bureau et commença à préparer notre journal de nouvelles. Je lui téléphonai de la ville voisine et lui demandai comment il allait : «Je ne pense plus à cette note, j'ai trop de travail ... ». Le surlendemain, un chèque arrivait couvrant la totalité de la note.
La période la plus dangereuse de notre vie est celle où nous abandonnons le combat de la foi et laissons tout aller.
Depuis que je sers Dieu, II est ma seule source chaque jour, et je Le bénis pour cela. Nous avons voulu atteindre des objectifs que seul Dieu pouvait permettre. Aucune profession libérale, la mieux rémunérée soit-elle, ne pourrait suffire à de tels engagements mensuels. Quand nous nous refusons à prendre des risques dans la vie, c'est que nous manquons de confiance en Dieu. C'est pourquoi on ne voit plus de miracles ... On ne s'y attend d'ailleurs même plus !
C'est lorsque nous n'avons plus rien que nous attendons tout de Dieu. Dieu nous a placés sur terre pour nous donner tout ce dont nous avons besoin. Il pourrait tout nous donner d'un coup. Mais Son désir est que nous comptions sur lui d'heure en heure. J'ai remarqué que chaque fois qu'Il nous a demandé d'entreprendre quelque chose pour Lui, Il nous a donné l'idée et la foi nécessaire. Dieu a fait la terre en partant de rien ... Sinon Sa Parole. C'est ainsi qu'Il nous a donné la Parole pour agir et notre petite foi grandit au fur et à mesure des buts à atteindre.
Nous avons commencé la colonie de vacances sans rien : pas de terrain, pas d'enfants, avec la Parole de la foi. Nous avons commencé à croire aux émissions télévisées avec pour seule raison que tout est possible à Dieu qui nous a demandé de toucher chaque Français par les «Medias ». Nous avons cru et puis nous avons agi et commencé à voir se réaliser les projets de Dieu. Nous n'avions rien sur quoi nous appuyer matériellement. L'homme veut avancer avec des appuis matériels. En revanche, l'homme de foi ne fera qu'avec ce qu'il a, c'est-à-dire souvent peu de choses. Car dans le combat de la foi, nous ne commençons qu'avec tout juste un peu de foi. Laissons Dieu la faire grandir. Nous atteindrons le but en puisant, dans notre être intérieur, toutes les ressources de foi que la Parole de Dieu y a déposées.
C'est quand vous n'avez rien que vous attendez tout de Dieu, que vous Lui faites confiance. Car Il est votre seule source.
Vous allez apprendre à combattre,
à puiser vos ressources dans votre être intérieur,
à semer une graine de foi,
et continuer à semer, semer, semer, semer
Demandez-vous :
« Est-ce que je dépends des autres ? »
ou
«Est-ce que Dieu est ma seule source ?»
Ecrivez votre réponse ici :
LA CLÉ DE DIEU POUR VOUS AUJOURD'HUI :
Dieu va agir en moi à cause de mes besoins. Dites-le.
ou C'EST DANS LE BESOIN QUE NOUS DÉCOUVRONS QUE DIEU EST NOTRE SEULE FORCE DE SÉCURITÉ.
Celui qui est à l'abri du besoin peut avoir la sensation que tout ira bien quoiqu'il arrive. Il se sent tellement en sécurité qu'il peut dire à son âme : « Mon âme, tu as beaucoup de biens en réserve pour plusieurs années : repose-toi, mange, bois et te réjouis » (Luc 12: 19). C'est en effet d'un homme semblable que Notre Seigneur parlait en parabole.
Cet homme n'avait aucun besoin de Dieu. Il pensait pouvoir contrôler sa propre vie. Il se permettait de parler à son âme et de lui faire considérer tous les biens qui l'entouraient. Il pensait que les biens de la terre pouvaient satisfaire les plus profonds désirs de son être intérieur, de son âme éternelle. C'est à ce moment-là que Dieu lui dit : « Insensé ! Cette nuit-même ton âme te sera redemandée, et ce que tu as préparé, pour qui cela sera-t-il ? » (Luc 12: 20). Et Jésus ajoute : « Mais vous, pour votre vie de chaque jour, considérez comment croissent les lys : ils ne travaillent ni ne filent; cependant je vous dis que Salomon dans toute sa gloire n'a pas été vêtu comme l'un d'eux. Si Dieu revêt ainsi l'herbe qui est aujourd'hui dans les champs et qui demain sera jetée au four, à combien plus forte raison ne vous vêtira-t-il pas, gens de peu de foi ? » En un mot, celui qui ne s'appuie que sur les humains n'a pas Dieu pour Père, car si Dieu prend soin du lys des champs, il peut certainement prendre soin de nous.
Alors que j'étais au volant de ma voiture, je réfléchissais à une fin de mois qui s'annonçait difficile, avec des notes à payer pour les divers frais de nos enfants : dentiste, gymnastique, piano, assurances. C'était la fin de l'année scolaire, au moment du départ en vacances. Le montant des frais dépassait largement mes avoirs. Ce souci voulait me tomber sur les épaules comme un carcan. C'est alors que cette parole de Jésus me vint à l'esprit : « Ne vous inquiétez donc pas du lendemain : car le lendemain aura soin de lui-même. A chaque jour suffit sa peine (Matthieu 6: 34) ». Je refusais immédiatement de penser au lendemain et je vécus le jour présent sans note à payer. Les jours suivants sont arrivés et les notes ont été payées sans difficultés.
Ces paroles : « Ne vous inquiétez pas du lendemain, votre père sait de quoi vous avez besoin », sont les paroles de Jésus les plus révolutionnaires. Elles sont pour tous les temps : pour l'homme de notre génération, agité, troublé, courbé par les responsabilités de ses fonctions. S'il prend au mot cette parole, il connaîtra le repos, la paix, toute sa vie. Il verra tous ses problèmes se dénouer. Jésus ne dit pas : si vous avez des problèmes, moquez-vous en, soyez indifférent, négligent ... non, il dit : « Votre Père sait... », Mais vous, recherchez en premier le royaume et la justice de Dieu et toutes choses dont vous aurez besoin vous seront données par surcroît.
Si nous voulons polariser nos efforts sur le royaume de Dieu, croyez-moi, nous serons autant occupés qu'un ministre peut l'être avec les affaires de l'Etat. Nous n'aurons guère le temps de penser aux nôtres.
Un jour, mon mari était accablé en raison d'une facture de la télévision qui avait dépassé l'échéance. Nous étions dans un esprit de jeûne et de prière. Mais ce souci l'étreignait. Il descendit au bureau et commença à préparer notre journal de nouvelles. Je lui téléphonai de la ville voisine et lui demandai comment il allait : «Je ne pense plus à cette note, j'ai trop de travail ... ». Le surlendemain, un chèque arrivait couvrant la totalité de la note.
La période la plus dangereuse de notre vie est celle où nous abandonnons le combat de la foi et laissons tout aller.
Depuis que je sers Dieu, II est ma seule source chaque jour, et je Le bénis pour cela. Nous avons voulu atteindre des objectifs que seul Dieu pouvait permettre. Aucune profession libérale, la mieux rémunérée soit-elle, ne pourrait suffire à de tels engagements mensuels. Quand nous nous refusons à prendre des risques dans la vie, c'est que nous manquons de confiance en Dieu. C'est pourquoi on ne voit plus de miracles ... On ne s'y attend d'ailleurs même plus !
C'est lorsque nous n'avons plus rien que nous attendons tout de Dieu. Dieu nous a placés sur terre pour nous donner tout ce dont nous avons besoin. Il pourrait tout nous donner d'un coup. Mais Son désir est que nous comptions sur lui d'heure en heure. J'ai remarqué que chaque fois qu'Il nous a demandé d'entreprendre quelque chose pour Lui, Il nous a donné l'idée et la foi nécessaire. Dieu a fait la terre en partant de rien ... Sinon Sa Parole. C'est ainsi qu'Il nous a donné la Parole pour agir et notre petite foi grandit au fur et à mesure des buts à atteindre.
Nous avons commencé la colonie de vacances sans rien : pas de terrain, pas d'enfants, avec la Parole de la foi. Nous avons commencé à croire aux émissions télévisées avec pour seule raison que tout est possible à Dieu qui nous a demandé de toucher chaque Français par les «Medias ». Nous avons cru et puis nous avons agi et commencé à voir se réaliser les projets de Dieu. Nous n'avions rien sur quoi nous appuyer matériellement. L'homme veut avancer avec des appuis matériels. En revanche, l'homme de foi ne fera qu'avec ce qu'il a, c'est-à-dire souvent peu de choses. Car dans le combat de la foi, nous ne commençons qu'avec tout juste un peu de foi. Laissons Dieu la faire grandir. Nous atteindrons le but en puisant, dans notre être intérieur, toutes les ressources de foi que la Parole de Dieu y a déposées.
C'est quand vous n'avez rien que vous attendez tout de Dieu, que vous Lui faites confiance. Car Il est votre seule source.
Vous allez apprendre à combattre,
à puiser vos ressources dans votre être intérieur,
à semer une graine de foi,
et continuer à semer, semer, semer, semer
Demandez-vous :
« Est-ce que je dépends des autres ? »
ou
«Est-ce que Dieu est ma seule source ?»
Ecrivez votre réponse ici :
LA CLÉ DE DIEU POUR VOUS AUJOURD'HUI :
Dieu va agir en moi à cause de mes besoins. Dites-le.
vendredi 20 mai 2011
CENT MOTS POUR CENT JOURS
Zèle
Il a été dit du revivaliste Wesley : «Son orgueil contaminait son zèle, mais son zèle purifiait son orgueil.»
C'est Élie le prophète qui va en parler par deux fois à Dieu lui-même.
"- Que fais tu ici, Élie?
- J'ai déployé mon zèle pour l'Éternel. » (I Rois 19 :10)
Nous avons dans cette expression une idée de déplacement.
Le zèle nous mobilise pour aller... «Mettez pour chaussure à vos pieds le zèle que donne l'Évangile de paix.» (Eph. 6 : 15).
Du zèle, il faut en avoir. Mais il est indispensable qu'il soit accompagné d'intelligence. Car un zèle sans intelligence détruit.
J'ai souvent constaté que les chrétiens au départ de leur vie chrétienne avaient reçu ces nouvelles «chaussures». Mais pour avoir parlé à tort et à travers sans intelligence, ils ont gaspillé des occasions qui eussent été favorables avec le discernement.
Saint Paul reconnaissait aux Juifs de son époque qu'ils avaient du zèle, mais il ajoute : « sans intelligence » (Rom. 10 :2).
De même il dira de lui même quant à son passé : «j'étais animé d'un zèle excessif pour les traditions de mes pères» (Gal. 1.14).
Si le zèle ne tient pas compte de la personnalité du vis à vis, il devient une agression. Le zèle est porteur d'un message de foi et d'amour. Le discernement donnera la forme convena¬ble au message qu'il véhicule.
Pour avoir été heurtés dans leur zèle, beaucoup de chrétiens ne rendent plus témoignage. Ceci souligne bien que leurs motivations n'étaient pas pures. Dans l'épître aux Galates, cette forme de zèle est dénoncée : «Le zèle qu'ils ont pour vous n'est pas pur, mais ils veulent vous détacher de nous, afin que vous soyez zélés pour eux» (Gal. 4 :17).
Lorsqu'une personne déploie son zèle pour détacher quelqu'un de sa communauté afin de l'adjoindre à la sienne, ce zèle est impur. «J'ai déployé mon zèle pour l'Éternel» disait Élie. Si c'est pour Dieu, alors l'amour prend la place des polémiques.
Il a été dit du revivaliste Wesley : «Son orgueil contaminait son zèle, mais son zèle purifiait son orgueil.»
C'est Élie le prophète qui va en parler par deux fois à Dieu lui-même.
"- Que fais tu ici, Élie?
- J'ai déployé mon zèle pour l'Éternel. » (I Rois 19 :10)
Nous avons dans cette expression une idée de déplacement.
Le zèle nous mobilise pour aller... «Mettez pour chaussure à vos pieds le zèle que donne l'Évangile de paix.» (Eph. 6 : 15).
Du zèle, il faut en avoir. Mais il est indispensable qu'il soit accompagné d'intelligence. Car un zèle sans intelligence détruit.
J'ai souvent constaté que les chrétiens au départ de leur vie chrétienne avaient reçu ces nouvelles «chaussures». Mais pour avoir parlé à tort et à travers sans intelligence, ils ont gaspillé des occasions qui eussent été favorables avec le discernement.
Saint Paul reconnaissait aux Juifs de son époque qu'ils avaient du zèle, mais il ajoute : « sans intelligence » (Rom. 10 :2).
De même il dira de lui même quant à son passé : «j'étais animé d'un zèle excessif pour les traditions de mes pères» (Gal. 1.14).
Si le zèle ne tient pas compte de la personnalité du vis à vis, il devient une agression. Le zèle est porteur d'un message de foi et d'amour. Le discernement donnera la forme convena¬ble au message qu'il véhicule.
Pour avoir été heurtés dans leur zèle, beaucoup de chrétiens ne rendent plus témoignage. Ceci souligne bien que leurs motivations n'étaient pas pures. Dans l'épître aux Galates, cette forme de zèle est dénoncée : «Le zèle qu'ils ont pour vous n'est pas pur, mais ils veulent vous détacher de nous, afin que vous soyez zélés pour eux» (Gal. 4 :17).
Lorsqu'une personne déploie son zèle pour détacher quelqu'un de sa communauté afin de l'adjoindre à la sienne, ce zèle est impur. «J'ai déployé mon zèle pour l'Éternel» disait Élie. Si c'est pour Dieu, alors l'amour prend la place des polémiques.
jeudi 19 mai 2011
VAINQUEUR
«A celui qui sera vainqueur et qui me glorifie
Je donnerai, dit le Seigneur, au ciel l'arbre de vie.» (cantique)
Strophe tirée d'un cantique s'inspirant du leit motiv que l'on retrouve à chaque finale des lettres adressées aux sept églises d'Asie : «A celui qui vaincra... » (Apoc., ch. 2 et 3). Malheureusement, le chant ne garantit pas la réalité, car beaucoup le chantent encore avec un esprit de défaite. C'est après l'office, dans la réalité des conversations, que l'on constate le négativisme des gens.
Où est l'esprit de victoire qui animait les hommes de foi de l'Ancien Testament? les Caleb, les Josué, les David ? Aux Romains, Paul écrivait : «Nous sommes plus que vainqueurs par Celui qui nous a tant aimés» (Rom. 8 : 37).
C'est notre position exacte, voulue de Dieu. Nous devons l'énoncer clairement, catégoriquement, et toutes les ressources de Dieu nous entoureront dans le moment difficile. Jésus nous a prédit des temps difficiles : «Quand ces choses commenceront à arriver, redressez vous et levez la tête, parce que votre délivrance approche. » (Luc 21 : 28)
Autrement dit: Soyez vainqueurs, et ne vous laissez pas intimider.
L'Esprit de victoire amène à la victoire.
Un jour, Smith Wigglesworth reçut une lettre provenant d'une femme qui était dans une grande détresse. La lettre était pleine de versets bibliques et de vérités. Le frère Wigglesworth lui renvoya sa lettre en ajoutant dans le bas: «croyez votre propre lettre». Elle le fit et fut merveilleusement délivrée. Elle connaissait l'Ecriture, mais il lui manquait l'esprit de victoire. Ce qui triomphe du monde, c'est notre foi.
L'esprit de victoire fait taire l'incrédulité : « Caleb fit taire le peuple qui murmurait contre Moise. Il dit : montons, emparons nous du pays, nous y serons vainqueurs. » (Nomb. 13 : 30)
L'esprit de victoire nous fait avancer envers et contre tout.
Ayez foi dans votre foi.
«A celui qui sera vainqueur et qui me glorifie
Je donnerai, dit le Seigneur, au ciel l'arbre de vie.» (cantique)
Strophe tirée d'un cantique s'inspirant du leit motiv que l'on retrouve à chaque finale des lettres adressées aux sept églises d'Asie : «A celui qui vaincra... » (Apoc., ch. 2 et 3). Malheureusement, le chant ne garantit pas la réalité, car beaucoup le chantent encore avec un esprit de défaite. C'est après l'office, dans la réalité des conversations, que l'on constate le négativisme des gens.
Où est l'esprit de victoire qui animait les hommes de foi de l'Ancien Testament? les Caleb, les Josué, les David ? Aux Romains, Paul écrivait : «Nous sommes plus que vainqueurs par Celui qui nous a tant aimés» (Rom. 8 : 37).
C'est notre position exacte, voulue de Dieu. Nous devons l'énoncer clairement, catégoriquement, et toutes les ressources de Dieu nous entoureront dans le moment difficile. Jésus nous a prédit des temps difficiles : «Quand ces choses commenceront à arriver, redressez vous et levez la tête, parce que votre délivrance approche. » (Luc 21 : 28)
Autrement dit: Soyez vainqueurs, et ne vous laissez pas intimider.
L'Esprit de victoire amène à la victoire.
Un jour, Smith Wigglesworth reçut une lettre provenant d'une femme qui était dans une grande détresse. La lettre était pleine de versets bibliques et de vérités. Le frère Wigglesworth lui renvoya sa lettre en ajoutant dans le bas: «croyez votre propre lettre». Elle le fit et fut merveilleusement délivrée. Elle connaissait l'Ecriture, mais il lui manquait l'esprit de victoire. Ce qui triomphe du monde, c'est notre foi.
L'esprit de victoire fait taire l'incrédulité : « Caleb fit taire le peuple qui murmurait contre Moise. Il dit : montons, emparons nous du pays, nous y serons vainqueurs. » (Nomb. 13 : 30)
L'esprit de victoire nous fait avancer envers et contre tout.
Ayez foi dans votre foi.
mercredi 18 mai 2011
CENT MOTS POUR CENT JOURS
USURE
«Celui qui augmente ses biens par l'intérêt et l'usure, les amasse pour celui qui a pitié des pauvres. » ('Prov. 28 : 8)
Si vous n'êtes pas convaincu que Dieu voit d'un mauvais oeil le profit de l'argent par l'argent, lisez Ezéch. 18 : 5-9, 22 : 12; Lév. 25 : 36-37; Ex. 22 : 25. Vous serez au clair.
Quand l'argent devient par lui même une marchandise qui rapporte, il y a usure ou intérêt.
Que la matière soit représentée par de l'argent, c'est normal, mais que l'argent achète l'argent, il y a cupidité. C'est une idolâtrie.
Je connais certains chrétiens qui ont voulu placer leurs capitaux chez des notaires dans le but d'en tirer des intérêts importants.
Quelques temps après, j'appris leurs déboires. Leurs débiteurs ne leur ont même pas payé les intérêts, et ne parlons pas du capital qu'ils n'ont jamais revu ! Il n'y a pas de vraie réussite pour le chrétien dans cette voie. C'est le chemin du monde que d'amasser pour ce but.
Le chrétien, lui, est appelé par Jésus à amasser pour le royaume de Dieu.
Le terme d'usurier résonne mal aux oreilles du chrétien qui aime le Seigneur et le sert, car il prend conscience que les meilleurs intérêts sont ceux de la banque du ciel. Il existe tant de possibilités qui permettent de multiplier l'évangélisation par les médias, par l'imprimé, etc.
Les perdus se lèveront au jour du jugement et accuseront en face les chrétiens qui ont épargné pour percevoir des intérêts au lieu de placer leurs capitaux au service de leur Maître qui a donné son sang pour racheter tous les hommes.
Beaucoup seraient sauvés s'ils entendaient, et beaucoup entendraient si les évangélistes avaient tous les moyens matériels pour atteindre le plus grand nombre.
Le chrétien qui place son argent pour augmenter sa richesse commet un crime envers les âmes perdues.
«Ceux qui auront enseigné la justice à la multitude brilleront comme les étoiles à toujours et à perpétuité.» (Dan. 12 : 3)
«Celui qui augmente ses biens par l'intérêt et l'usure, les amasse pour celui qui a pitié des pauvres. » ('Prov. 28 : 8)
Si vous n'êtes pas convaincu que Dieu voit d'un mauvais oeil le profit de l'argent par l'argent, lisez Ezéch. 18 : 5-9, 22 : 12; Lév. 25 : 36-37; Ex. 22 : 25. Vous serez au clair.
Quand l'argent devient par lui même une marchandise qui rapporte, il y a usure ou intérêt.
Que la matière soit représentée par de l'argent, c'est normal, mais que l'argent achète l'argent, il y a cupidité. C'est une idolâtrie.
Je connais certains chrétiens qui ont voulu placer leurs capitaux chez des notaires dans le but d'en tirer des intérêts importants.
Quelques temps après, j'appris leurs déboires. Leurs débiteurs ne leur ont même pas payé les intérêts, et ne parlons pas du capital qu'ils n'ont jamais revu ! Il n'y a pas de vraie réussite pour le chrétien dans cette voie. C'est le chemin du monde que d'amasser pour ce but.
Le chrétien, lui, est appelé par Jésus à amasser pour le royaume de Dieu.
Le terme d'usurier résonne mal aux oreilles du chrétien qui aime le Seigneur et le sert, car il prend conscience que les meilleurs intérêts sont ceux de la banque du ciel. Il existe tant de possibilités qui permettent de multiplier l'évangélisation par les médias, par l'imprimé, etc.
Les perdus se lèveront au jour du jugement et accuseront en face les chrétiens qui ont épargné pour percevoir des intérêts au lieu de placer leurs capitaux au service de leur Maître qui a donné son sang pour racheter tous les hommes.
Beaucoup seraient sauvés s'ils entendaient, et beaucoup entendraient si les évangélistes avaient tous les moyens matériels pour atteindre le plus grand nombre.
Le chrétien qui place son argent pour augmenter sa richesse commet un crime envers les âmes perdues.
«Ceux qui auront enseigné la justice à la multitude brilleront comme les étoiles à toujours et à perpétuité.» (Dan. 12 : 3)
mardi 17 mai 2011
CENT MOTS POUR CENT JOURS
Tambourins
Que les tambourins sont rares dans les églises ! Pourtant ils figurent parmi les instruments les moins chers et ne requièrent pas de notions musicales... juste le sens du rythme, mais surtout beaucoup de joie...
Mais où sont les tambourins ?
Là où existe la joie des vrais rassemblements.
Là où les gens sont libres de leur expression. Là où l'on aime mêler le geste à la parole et accompagner le son des instruments.
«Entonnez des cantiques, faites résonner le tambourin.» (Ps. 81 : 3) Le tambourin absent, le cantique devient litanie... «Louez le avec le tambourin et avec les danses. »
(Ps. 150 : 4) Le tambourin est un instrument de louange.
Mais attention ! Le tambourin est dangereux pour le culte bien rangé, bien ordonné. Il détend l'atmosphère religieuse, il désacralise le solennel. Ses clochettes conviennent à la danse, la danse amène à la liberté des mouvements, et si toute l'assemblée se met à danser, que deviendra le pro¬gramme bien réglé du conducteur ?
Oh! que Dieu donne des David pour pasteurs et que tout l'Israël de Dieu agite les tambourins.
Sergine ne manque jamais d'emporter son tambourin en voyage. Souvent elle l'emporte dans le bois pour louer Dieu, et je vous assure que lorsqu'elle traverse une zone de nuages où le combat fait rage, il accompagne son intercession et sa louange. Le résultat ne se fait pas attendre : le soleil revient et la victoire est remportée. Alléluia !
Achetez un tambourin et commencez à l'agiter chez vous, et si vous êtes libre de le faire dans votre église, utilisez le dans vos rassemblements. Beaucoup de choses vont changer.
Que les tambourins sont rares dans les églises ! Pourtant ils figurent parmi les instruments les moins chers et ne requièrent pas de notions musicales... juste le sens du rythme, mais surtout beaucoup de joie...
Mais où sont les tambourins ?
Là où existe la joie des vrais rassemblements.
Là où les gens sont libres de leur expression. Là où l'on aime mêler le geste à la parole et accompagner le son des instruments.
«Entonnez des cantiques, faites résonner le tambourin.» (Ps. 81 : 3) Le tambourin absent, le cantique devient litanie... «Louez le avec le tambourin et avec les danses. »
(Ps. 150 : 4) Le tambourin est un instrument de louange.
Mais attention ! Le tambourin est dangereux pour le culte bien rangé, bien ordonné. Il détend l'atmosphère religieuse, il désacralise le solennel. Ses clochettes conviennent à la danse, la danse amène à la liberté des mouvements, et si toute l'assemblée se met à danser, que deviendra le pro¬gramme bien réglé du conducteur ?
Oh! que Dieu donne des David pour pasteurs et que tout l'Israël de Dieu agite les tambourins.
Sergine ne manque jamais d'emporter son tambourin en voyage. Souvent elle l'emporte dans le bois pour louer Dieu, et je vous assure que lorsqu'elle traverse une zone de nuages où le combat fait rage, il accompagne son intercession et sa louange. Le résultat ne se fait pas attendre : le soleil revient et la victoire est remportée. Alléluia !
Achetez un tambourin et commencez à l'agiter chez vous, et si vous êtes libre de le faire dans votre église, utilisez le dans vos rassemblements. Beaucoup de choses vont changer.
lundi 16 mai 2011
CENT MOTS POUR CENT JOURS
SANG
Merveilleux, mystérieux, impressionnant, le sang véhicule la vie.
"Tous les hommes sont frères, car ils sont sortis d'un seul sang" (Actes 17 : 26). Pourtant le sang coule partout dans le monde. Depuis Caïn, le sang est versé par la main de l'homme animé de haines personnelles et de conflits nationaux. Le don du sang, à l'opposé, est un acte d'amour. Un donneur de sang contribuera à sauver une vie humaine; c'est très louable, et il faut le faire. Mais le sang de l'homme ne peut sauver l'homme du péché. Seul "le sang de Jésus nous purifie de tout péché. (I Jean 1 : 7).
A "oeil pour oeil, dent pour dent" de Moïse, Jésus a répondu : "sang pour sang" et sans mauvais jeu de mots, j'ajoute "cent pour cent". Gloire à son Nom !
"Tu es digne de louange, car tu as racheté pour Dieu, par ton sang, des hommes de toute tribu, de toute langue, de tout peuple, et de toute nation." (Apoc. 5 : 9)
Voici ce que le sang de Jésus nous donne :
- la rédemption (Eph. 1 : 7)
- une libre entrée dans le sanctuaire (Héb. 10 : 19) - la sanctification (Héb. 13 : 12)
- la purification de notre conscience (Héb. 9 : 14) - la délivrance de nos péchés (Apoc. 1 : 5)
- la victoire sur Satan (Apoc. 12 : 11)
Comme nous le voyons ici, le sang de Jésus "parle" bien mieux que le sang d'Abel (Héb. 12 : 24) ou que le sang des taureaux et des boucs (Héb. 9 : 13-14).
Le sang de Jésus est protecteur. Posé sur le linteau des portes, Israël était parfaitement abrité des fléaux du pays d'Égypte. Combien plus en est-il du sang de Christ ! Le chrétien qui a peur ou qui craint n'a pas placé sa foi dans la valeur du sang de Christ. C'est une atteinte grave au sacrifice de Jésus. C'est comme si Jésus n'avait pas été crucifié; c'est rendre nul à notre égard le dessein de Dieu. C'est grave et c'est dommage. Toute la Bible proclame le contraire : "Vous avez tout pleinement en Lui qui est le chef de toute domination, de toute autorité" (Col. 2 : 10).
Martin Luther eut, une nuit, un rêve très impressionnant. Il vit le diable, un rouleau à la main, lui présenter la liste de ses péchés. L'écriture était serrée et remplissait le parchemin au-dedans et au-dehors. Luther lut et vit que tout était inscrit avec exactitude.
- Ce sont là tous mes péchés ? demande-t-il.
- Non, répondit le diable.
- Alors montre-moi les autres, exigea Luther.
Le diable revint avec une autre liste. Luther vérifia à nouveau, et lorsqu'il se fut assuré de l'exactitude de la liste, il demanda à nouveau :
- Est ce tout ?
- Oui, répondit Satan. Alors dit il :
- Prends ma plume et écris en travers des deux listes, à l'encre rouge : "Le sang de Jésus-Christ, le fils de Dieu, nous purifie de tout péché. "
Affirmez cela avec la même autorité face aux insinuations de Satan, vous retrouverez votre paix et votre joie du premier amour.
Merveilleux, mystérieux, impressionnant, le sang véhicule la vie.
"Tous les hommes sont frères, car ils sont sortis d'un seul sang" (Actes 17 : 26). Pourtant le sang coule partout dans le monde. Depuis Caïn, le sang est versé par la main de l'homme animé de haines personnelles et de conflits nationaux. Le don du sang, à l'opposé, est un acte d'amour. Un donneur de sang contribuera à sauver une vie humaine; c'est très louable, et il faut le faire. Mais le sang de l'homme ne peut sauver l'homme du péché. Seul "le sang de Jésus nous purifie de tout péché. (I Jean 1 : 7).
A "oeil pour oeil, dent pour dent" de Moïse, Jésus a répondu : "sang pour sang" et sans mauvais jeu de mots, j'ajoute "cent pour cent". Gloire à son Nom !
"Tu es digne de louange, car tu as racheté pour Dieu, par ton sang, des hommes de toute tribu, de toute langue, de tout peuple, et de toute nation." (Apoc. 5 : 9)
Voici ce que le sang de Jésus nous donne :
- la rédemption (Eph. 1 : 7)
- une libre entrée dans le sanctuaire (Héb. 10 : 19) - la sanctification (Héb. 13 : 12)
- la purification de notre conscience (Héb. 9 : 14) - la délivrance de nos péchés (Apoc. 1 : 5)
- la victoire sur Satan (Apoc. 12 : 11)
Comme nous le voyons ici, le sang de Jésus "parle" bien mieux que le sang d'Abel (Héb. 12 : 24) ou que le sang des taureaux et des boucs (Héb. 9 : 13-14).
Le sang de Jésus est protecteur. Posé sur le linteau des portes, Israël était parfaitement abrité des fléaux du pays d'Égypte. Combien plus en est-il du sang de Christ ! Le chrétien qui a peur ou qui craint n'a pas placé sa foi dans la valeur du sang de Christ. C'est une atteinte grave au sacrifice de Jésus. C'est comme si Jésus n'avait pas été crucifié; c'est rendre nul à notre égard le dessein de Dieu. C'est grave et c'est dommage. Toute la Bible proclame le contraire : "Vous avez tout pleinement en Lui qui est le chef de toute domination, de toute autorité" (Col. 2 : 10).
Martin Luther eut, une nuit, un rêve très impressionnant. Il vit le diable, un rouleau à la main, lui présenter la liste de ses péchés. L'écriture était serrée et remplissait le parchemin au-dedans et au-dehors. Luther lut et vit que tout était inscrit avec exactitude.
- Ce sont là tous mes péchés ? demande-t-il.
- Non, répondit le diable.
- Alors montre-moi les autres, exigea Luther.
Le diable revint avec une autre liste. Luther vérifia à nouveau, et lorsqu'il se fut assuré de l'exactitude de la liste, il demanda à nouveau :
- Est ce tout ?
- Oui, répondit Satan. Alors dit il :
- Prends ma plume et écris en travers des deux listes, à l'encre rouge : "Le sang de Jésus-Christ, le fils de Dieu, nous purifie de tout péché. "
Affirmez cela avec la même autorité face aux insinuations de Satan, vous retrouverez votre paix et votre joie du premier amour.
samedi 14 mai 2011
CENT MOTS POUR CENT JOURS
Saint Esprit
Smith Wigglesworth disait: «C'est une insulte de demander à Dieu sa puissance alors que vous avez reçu le baptême du Saint Esprit.» II ajoutait: «Je n'ai jamais cherché ce que je devais dire sur l'estrade parce que depuis que le Saint Esprit est venu, nous devons être prophètes. Je crois que l'on doit être saisi par la puissance du Saint Esprit. Je m'attends à agir, à affronter, à agir par le Saint Esprit.» Et encore: «Tout enfant de Dieu qui reçoit le Saint Esprit obtient la révélation de la majesté qui se trouve déjà dans la nature de la nouvelle naissance: Christ en vous.»
C'est un grand privilège pour notre corps d'être le temple du Saint Esprit. N'oublions jamais que le Saint Esprit est une personne. C'est bien ce que Jésus pensait lorsqu'il promettait à ses disciples: «Et voici, je suis avec vous tous les jours jusqu'à la fin du monde. » (Mat. 28:20)
En effet, dans les Actes des Apôtres, nous découvrons que le Saint Esprit:
ne leur permit pas (Actes 16:7)
leur donnait de s'exprimer (Actes 2:4)
dit à Pierre et à Philippe... (Actes 8:29 et 10:19) dit de partir... (Actes 11:12)
dit de mettre à part... (Actes 13:2)
La cause est entendue; seule une personne peut réaliser des actions.
Paul dit que l'on peut attrister le Saint Esprit (Eph. 4:30). Si le Saint Esprit a parlé à Pierre, Philippe, Paul, et tant d'autres, il peut vous parler aussi. Comme Jésus parlait à ses disciples, le Saint Esprit veut aussi nous parler.
A plusieurs reprises dans mon ministère d'évangéliste, il m'a parlé, et ce qu'il m'a dit a eu des répercussions énorme dans ma vie et celle des autres. C'est ainsi qu'une fois il m'a encouragé à investir dans un matériel qui, par la suite, a servi à l'évangélisation et l'édification des multitudes.
Il peut vous parler pour vous dire «stop»; il peut vous pousser et vous dire «avance».
N'y a t il pas dans le livre du prophète Esaïe une merveilleuse promesse le concernant?
«Tes oreilles entendront derrière toi la voix qui dira: Voici le chemin, marchez y!» (Es. 30:21)
Smith Wigglesworth disait: «C'est une insulte de demander à Dieu sa puissance alors que vous avez reçu le baptême du Saint Esprit.» II ajoutait: «Je n'ai jamais cherché ce que je devais dire sur l'estrade parce que depuis que le Saint Esprit est venu, nous devons être prophètes. Je crois que l'on doit être saisi par la puissance du Saint Esprit. Je m'attends à agir, à affronter, à agir par le Saint Esprit.» Et encore: «Tout enfant de Dieu qui reçoit le Saint Esprit obtient la révélation de la majesté qui se trouve déjà dans la nature de la nouvelle naissance: Christ en vous.»
C'est un grand privilège pour notre corps d'être le temple du Saint Esprit. N'oublions jamais que le Saint Esprit est une personne. C'est bien ce que Jésus pensait lorsqu'il promettait à ses disciples: «Et voici, je suis avec vous tous les jours jusqu'à la fin du monde. » (Mat. 28:20)
En effet, dans les Actes des Apôtres, nous découvrons que le Saint Esprit:
ne leur permit pas (Actes 16:7)
leur donnait de s'exprimer (Actes 2:4)
dit à Pierre et à Philippe... (Actes 8:29 et 10:19) dit de partir... (Actes 11:12)
dit de mettre à part... (Actes 13:2)
La cause est entendue; seule une personne peut réaliser des actions.
Paul dit que l'on peut attrister le Saint Esprit (Eph. 4:30). Si le Saint Esprit a parlé à Pierre, Philippe, Paul, et tant d'autres, il peut vous parler aussi. Comme Jésus parlait à ses disciples, le Saint Esprit veut aussi nous parler.
A plusieurs reprises dans mon ministère d'évangéliste, il m'a parlé, et ce qu'il m'a dit a eu des répercussions énorme dans ma vie et celle des autres. C'est ainsi qu'une fois il m'a encouragé à investir dans un matériel qui, par la suite, a servi à l'évangélisation et l'édification des multitudes.
Il peut vous parler pour vous dire «stop»; il peut vous pousser et vous dire «avance».
N'y a t il pas dans le livre du prophète Esaïe une merveilleuse promesse le concernant?
«Tes oreilles entendront derrière toi la voix qui dira: Voici le chemin, marchez y!» (Es. 30:21)
jeudi 12 mai 2011
CENT MOTS POUR CENT JOURS
Saint
"Vous serez saints car je suis saint." (Lév. 11 : 44)
Certains sursautent devant un tel commandement. Ils pensent que ce programme est impossible à accomplir. Si Dieu le dit, c'est que je puis l'être. Paul l'inclura dans ce critère : "Je puis tout par Celui qui ne fortifie".
Un saint est un chrétien qui a été sanctifié, donc mis à part pour Jésus. Sa vie n'est plus centrée sur son moi.
Il est faux de croire que le saint fait partie d'une classe spéciale parmi les croyants. Tous les enfants de Dieu, sauvés par grâce, régénérés par le Saint-Esprit, nourris de la Parole vivante sont des saints.
Paul adresse sa lettre à tous les saints de Philippe (Phil. 1 : 1).
"Je suis le moindre de tous les saints..." 'Eph. 3 : 8) dira t'il en parlant de lui.
Grâce à Sa Parole créatrice, Dieu nous donne les moyens d'être des saints. Lorsque Jésus dit à l'aveugle : "va et ne pèche plus", il y a, dans cette parole, de la puissance pour ne plus pécher.
Notre véritable position est là. Nous ne devons pas mésestimer la capacité que Dieu nous donne de nous y installer. Vous êtes des saints. Acceptez-le déjà. L'orgueilleux a du mal à digérer cette déclaration, car il veut prétendre à quelque chose par lui-même. L'humble, au contraire, l'accepte et s'appuie sans autre sur cette déclaration. C'est un don qu'il faut recevoir. Je le reçois donc, et je constate que ma vieille nature n'a plus de pouvoir.
La vie d'Arthur Katz a été métamorphosée à partir du moment où il entendit une chrétienne rayonnante témoigner simplement qu'elle était entrée dans le lieu très saint. Cette parole de témoignage le poursuivit tant et si bien qu'il y pensait encore au lit le lendemain matin. Et c'est en tenue de nuit, dans son lit, qu'il fit la plus merveilleuse des expériences. Il entra en Esprit dans le lieu très saint, le lieu où la gloire de Dieu resplendit. D'un coup il fut changé et sut qu'il ne serait plus le même à partir de cet instant. Ce fut vrai ! Sans qu'il ouvrit la bouche, beaucoup remarquèrent son nouveau comportement, sa détente, sa satisfaction extrême, son assurance.
"Vous êtes concitoyens des saints, gens de la maison de Dieu." (Eph. 2 : 19)
"Vous serez saints car je suis saint." (Lév. 11 : 44)
Certains sursautent devant un tel commandement. Ils pensent que ce programme est impossible à accomplir. Si Dieu le dit, c'est que je puis l'être. Paul l'inclura dans ce critère : "Je puis tout par Celui qui ne fortifie".
Un saint est un chrétien qui a été sanctifié, donc mis à part pour Jésus. Sa vie n'est plus centrée sur son moi.
Il est faux de croire que le saint fait partie d'une classe spéciale parmi les croyants. Tous les enfants de Dieu, sauvés par grâce, régénérés par le Saint-Esprit, nourris de la Parole vivante sont des saints.
Paul adresse sa lettre à tous les saints de Philippe (Phil. 1 : 1).
"Je suis le moindre de tous les saints..." 'Eph. 3 : 8) dira t'il en parlant de lui.
Grâce à Sa Parole créatrice, Dieu nous donne les moyens d'être des saints. Lorsque Jésus dit à l'aveugle : "va et ne pèche plus", il y a, dans cette parole, de la puissance pour ne plus pécher.
Notre véritable position est là. Nous ne devons pas mésestimer la capacité que Dieu nous donne de nous y installer. Vous êtes des saints. Acceptez-le déjà. L'orgueilleux a du mal à digérer cette déclaration, car il veut prétendre à quelque chose par lui-même. L'humble, au contraire, l'accepte et s'appuie sans autre sur cette déclaration. C'est un don qu'il faut recevoir. Je le reçois donc, et je constate que ma vieille nature n'a plus de pouvoir.
La vie d'Arthur Katz a été métamorphosée à partir du moment où il entendit une chrétienne rayonnante témoigner simplement qu'elle était entrée dans le lieu très saint. Cette parole de témoignage le poursuivit tant et si bien qu'il y pensait encore au lit le lendemain matin. Et c'est en tenue de nuit, dans son lit, qu'il fit la plus merveilleuse des expériences. Il entra en Esprit dans le lieu très saint, le lieu où la gloire de Dieu resplendit. D'un coup il fut changé et sut qu'il ne serait plus le même à partir de cet instant. Ce fut vrai ! Sans qu'il ouvrit la bouche, beaucoup remarquèrent son nouveau comportement, sa détente, sa satisfaction extrême, son assurance.
"Vous êtes concitoyens des saints, gens de la maison de Dieu." (Eph. 2 : 19)
mercredi 11 mai 2011
CENT MOTS POUR CENT JOURS
Royaume
«Jésus les envoya prêcher le Royaume de Dieu.» (Luc 9 :2)
C'est le message fondamental de Jésus. «Le Royaume de Dieu est donc venu vers vous. » (Mat. 12 :28)
Dans la réalité de la vie chrétienne, il en va souvent autrement. Les hommes préfèrent toujours installer des royaumes qui peuvent être aussi variés que divers : dénomination, lois de l'église locale, oeuvres annexes des églises. On se détermine plutôt par rapport à ces choses qu'au royaume de Dieu que Jésus est venu installer. Où vous situez vous ? Êtes-vous dans le Royaume de Dieu ? Vivez vous pour ce Royaume de Dieu ? Pour qu'il s'étende ? Comment le monde vous voit il ? Comment vous déterminez vous ?
Arthur Katz, juif américain converti à Jésus, raconte cette anecdote :
«J'étais dans le bureau d'une grande personnalité du monde universitaire. Il représentait le monde intellectuel, et moi le monde spirituel. Connaissant ma position, il me questionna : - Êtes-vous en rapport avec le mouvement appelé les Juifs pour Jésus ? - Non, lui répondis-je. Alors peut-être êtes vous en connexion avec le groupe des hommes d'affaires du Plein Évangile ? Non, lui dis-je à nouveau. Peut être alors avec le mouvement charismatique ? Non, répliquai je encore. Alors vous êtes en relation avec quoi ? Je suis en relation avec le fondement des apôtres et des prophètes, lui déclarai-je.»
Voilà un homme qui est entré dans le Royaume et qui connaît sa position. Il a bâti sa vie sur le fondement, sur le roc. Lorsque les hommes vous questionnent, est-ce la réponse que vous donnez ?
Notez le nombre important de fois, dans le Nouveau Testament, où le Royaume de Dieu est annoncé :
«Paul leur annonça le Royaume de Dieu. » (Actes 28 : 23) «Le Royaume de Dieu est au milieu de vous. » (Luc 17 : 21) «Ils ont travaillé avec moi pour le Royaume de Dieu.» (Col. 4 : 11)
Pourquoi cette expression a-t-elle complètement disparu du langage spirituel alors qu'elle revient plus de trente fois dans le Nouveau Testament ? Serait-ce parce que les prédicateurs n'ont pas assez en vue le Royaume de Dieu ? Quels peuvent être les autres buts ? Augmenter le nombre de prosélytes ? Avoir plus de possibilités, plus d'influence, plus de renom ? Justifier un salaire ? une fonction ? On condescend à ce que le règne de Jésus vienne; on le récite. Mais le Royaume de Dieu est-il une construction de co-propriétaires où chacun sort indépendamment de son côté, ou bien est-il la bergerie où les vrais échanges existent ? A quoi correspond la semaine de l'unité ? N'y a-t-il pas cinquante et une autres semaines ? Qu'apporte-t-elle vraiment ? L'image d'un rapprochement ou la preuve d'une séparation ? Ceux qui n'émergent pas de l'esprit de dénomination et ne reconnaissent pas les autres membres du corps de Christ pourront avoir de pénibles surprises lorsque Son règne viendra.
Vivez dans le Royaume et pour le Royaume.
«Jésus les envoya prêcher le Royaume de Dieu.» (Luc 9 :2)
C'est le message fondamental de Jésus. «Le Royaume de Dieu est donc venu vers vous. » (Mat. 12 :28)
Dans la réalité de la vie chrétienne, il en va souvent autrement. Les hommes préfèrent toujours installer des royaumes qui peuvent être aussi variés que divers : dénomination, lois de l'église locale, oeuvres annexes des églises. On se détermine plutôt par rapport à ces choses qu'au royaume de Dieu que Jésus est venu installer. Où vous situez vous ? Êtes-vous dans le Royaume de Dieu ? Vivez vous pour ce Royaume de Dieu ? Pour qu'il s'étende ? Comment le monde vous voit il ? Comment vous déterminez vous ?
Arthur Katz, juif américain converti à Jésus, raconte cette anecdote :
«J'étais dans le bureau d'une grande personnalité du monde universitaire. Il représentait le monde intellectuel, et moi le monde spirituel. Connaissant ma position, il me questionna : - Êtes-vous en rapport avec le mouvement appelé les Juifs pour Jésus ? - Non, lui répondis-je. Alors peut-être êtes vous en connexion avec le groupe des hommes d'affaires du Plein Évangile ? Non, lui dis-je à nouveau. Peut être alors avec le mouvement charismatique ? Non, répliquai je encore. Alors vous êtes en relation avec quoi ? Je suis en relation avec le fondement des apôtres et des prophètes, lui déclarai-je.»
Voilà un homme qui est entré dans le Royaume et qui connaît sa position. Il a bâti sa vie sur le fondement, sur le roc. Lorsque les hommes vous questionnent, est-ce la réponse que vous donnez ?
Notez le nombre important de fois, dans le Nouveau Testament, où le Royaume de Dieu est annoncé :
«Paul leur annonça le Royaume de Dieu. » (Actes 28 : 23) «Le Royaume de Dieu est au milieu de vous. » (Luc 17 : 21) «Ils ont travaillé avec moi pour le Royaume de Dieu.» (Col. 4 : 11)
Pourquoi cette expression a-t-elle complètement disparu du langage spirituel alors qu'elle revient plus de trente fois dans le Nouveau Testament ? Serait-ce parce que les prédicateurs n'ont pas assez en vue le Royaume de Dieu ? Quels peuvent être les autres buts ? Augmenter le nombre de prosélytes ? Avoir plus de possibilités, plus d'influence, plus de renom ? Justifier un salaire ? une fonction ? On condescend à ce que le règne de Jésus vienne; on le récite. Mais le Royaume de Dieu est-il une construction de co-propriétaires où chacun sort indépendamment de son côté, ou bien est-il la bergerie où les vrais échanges existent ? A quoi correspond la semaine de l'unité ? N'y a-t-il pas cinquante et une autres semaines ? Qu'apporte-t-elle vraiment ? L'image d'un rapprochement ou la preuve d'une séparation ? Ceux qui n'émergent pas de l'esprit de dénomination et ne reconnaissent pas les autres membres du corps de Christ pourront avoir de pénibles surprises lorsque Son règne viendra.
Vivez dans le Royaume et pour le Royaume.
mardi 10 mai 2011
CENT MOTS POUR CENT JOURS
Ressemblance
«Faisons l'homme selon notre ressemblance. » Gen. 1 :26)
C'est le point de départ de la création. Dieu veut se retrouver dans l'homme et l'homme peut, à sa joie, se retrouver en Dieu. Dieu investit de sa divinité chez l'homme. Quel mystère, quelle prodigieuse réalité ! Adam est homme-Dieu. Jésus, le second Adam, est Dieu-homme.
Dieu donna un royaume à l'homme pour qu'il le gouverne. L'homme est créé capable, responsable, autonome. Seul l'amour le lien de la perfection le rattache à Dieu par une communion unique. C'est cette communion que le diable va attaquer et briser par le péché. Dès que cet objectif est atteint, la ressemblance de l'homme avec Dieu pâlit de plus en plus au fil du temps. L'homme meurt.
Mais Jésus, le second Adam, est venu. Sa perfection morale et spirituelle tranche terriblement avec l'homme déchu. Mais la distance va être totalement abolie grâce au pont de la foi que Jésus jette vers la créature. «Tout est possible à celui qui croit». (Marc 9 :23)
Par ce «pont de la foi», la communication entre l'homme et Dieu est à nouveau rendue possible et la communion rétablie.
La restauration démarre lorsque Jésus commence en nous le travail de libération et de guérison.
Un groupe de touristes visitait un atelier de sculpture. Le guide les laissa un instant s'approcher d'un ouvrier qui travaillait une tête de lion. «Est-ce difficile de sculpter un lion?» demanda une petite dame admirative. «Oh non, répondit avec humour le sculpteur, vous faites sauter de la masse tout ce qui ne ressemble pas à un lion !»
L'exemple vaut pour notre sujet. «Le lion de la tribu de Juda», Jésus, apparaîtra en nous si le Saint Esprit a carte blanche pour faire sauter tout ce qui couvre et cache la ressemblance.
«Faisons l'homme selon notre ressemblance. » Gen. 1 :26)
C'est le point de départ de la création. Dieu veut se retrouver dans l'homme et l'homme peut, à sa joie, se retrouver en Dieu. Dieu investit de sa divinité chez l'homme. Quel mystère, quelle prodigieuse réalité ! Adam est homme-Dieu. Jésus, le second Adam, est Dieu-homme.
Dieu donna un royaume à l'homme pour qu'il le gouverne. L'homme est créé capable, responsable, autonome. Seul l'amour le lien de la perfection le rattache à Dieu par une communion unique. C'est cette communion que le diable va attaquer et briser par le péché. Dès que cet objectif est atteint, la ressemblance de l'homme avec Dieu pâlit de plus en plus au fil du temps. L'homme meurt.
Mais Jésus, le second Adam, est venu. Sa perfection morale et spirituelle tranche terriblement avec l'homme déchu. Mais la distance va être totalement abolie grâce au pont de la foi que Jésus jette vers la créature. «Tout est possible à celui qui croit». (Marc 9 :23)
Par ce «pont de la foi», la communication entre l'homme et Dieu est à nouveau rendue possible et la communion rétablie.
La restauration démarre lorsque Jésus commence en nous le travail de libération et de guérison.
Un groupe de touristes visitait un atelier de sculpture. Le guide les laissa un instant s'approcher d'un ouvrier qui travaillait une tête de lion. «Est-ce difficile de sculpter un lion?» demanda une petite dame admirative. «Oh non, répondit avec humour le sculpteur, vous faites sauter de la masse tout ce qui ne ressemble pas à un lion !»
L'exemple vaut pour notre sujet. «Le lion de la tribu de Juda», Jésus, apparaîtra en nous si le Saint Esprit a carte blanche pour faire sauter tout ce qui couvre et cache la ressemblance.
lundi 9 mai 2011
CENT MOTS POUR CENT JOURS
Raisonner
«Pourquoi raisonnez vous sur ce que vous n'avez pas?» (Marc 8:17) Ah! le raisonnement humain!
«C'est la pire des pestes)) reconnaissait Calvin.
La raison ne doit pas être annihilée par la conversion, mais doit fonctionner dans le sens de l'Esprit qui habite la Parole de Dieu.
N'oublions pas que les pharisiens raisonnaient selon l'Ecri¬
ture, mais celle de la lettre: «Peut il venir de Nazareth quel¬que chose de bon ?» (Jean 1:47)
Raisonner selon la foi plaît à Dieu.
Caleb et Josué le firent lors de la visite préliminaire de Canaan. Ils raisonnèrent selon les promesses de Dieu, et non selon ce qu'ils voyaient: les géants, les murailles des villes imprenables.
Le centenier raisonna aussi selon la foi: «Moi qui ne suis qu'un homme, je dis à un soldat va, et il va, à mon serviteur fait cela, et il le fait. Toi, dis un mot et mon serviteur sera guéri.» (Luc 7:1 10,)
Hors de la foi, on se trompe soi même par de faux raison¬
nements. «Mettez en pratique la Parole et ne vous bornez pas à l'écouter en vous trompant vous mêmes par de faux raisonnements. » (Jacq. 1:22)
Beaucoup d'églises, à cause de leurs comités, sont conduites par la sagesse humaine émanant de raisonnements humains dans lesquels la foi est totalement exclue. Elles raisonnent par la vue.
Je pense à l'expérience que fit Yonggi Cho à ce sujet. Dieu lui avait parlé personnellement en lui demandant de cons¬truire une église contenant 10 000 places. Suite de quoi il
alla en parler à ses anciens. Ceux ci commentèrent ainsi leur point de vue:
Le trésorier: Frère Yonggi Cho, savez vous combien va coûter un tel bâtiment? Savez vous combien nous avons en caisse?
Un ancien: Les gens de notre église sont pauvres et ne pourront jamais faire face à de telles dépenses.
Un autre encore: Pasteur, est ce vraiment nécessaire de construire un si grand local?
Yonggi Cho repartit tout triste et, dans son salon, se tour¬nant vers Dieu lui dit: «Tu vois, Seigneur, ils ne veulent pas...» Mais Dieu lui répondit: «Est ce à eux que j'ai demandé de construire cette église?»
Raisonnez comme cette petite fille qui comptait les sous de sa tirelire devant une amie: «J'ai dix sous» dit elle. «Non, reprit l'autre, tu en as exactement cinq comme moi. » «Oui, j'ai dix sous, répéta la première, parce que mon papa m'a dit que lorsqu'il rentrerait ce soir il m'en donnerait cinq autres... Na!»
Dieu a promis de faire la différence entre ce que nous avons et ce qu'il nous faut.
Nous devons toujours raisonner selon ce critère car «nous
renversons les raisonnements». (II Cor. 10:5)
«Pourquoi raisonnez vous sur ce que vous n'avez pas?» (Marc 8:17) Ah! le raisonnement humain!
«C'est la pire des pestes)) reconnaissait Calvin.
La raison ne doit pas être annihilée par la conversion, mais doit fonctionner dans le sens de l'Esprit qui habite la Parole de Dieu.
N'oublions pas que les pharisiens raisonnaient selon l'Ecri¬
ture, mais celle de la lettre: «Peut il venir de Nazareth quel¬que chose de bon ?» (Jean 1:47)
Raisonner selon la foi plaît à Dieu.
Caleb et Josué le firent lors de la visite préliminaire de Canaan. Ils raisonnèrent selon les promesses de Dieu, et non selon ce qu'ils voyaient: les géants, les murailles des villes imprenables.
Le centenier raisonna aussi selon la foi: «Moi qui ne suis qu'un homme, je dis à un soldat va, et il va, à mon serviteur fait cela, et il le fait. Toi, dis un mot et mon serviteur sera guéri.» (Luc 7:1 10,)
Hors de la foi, on se trompe soi même par de faux raison¬
nements. «Mettez en pratique la Parole et ne vous bornez pas à l'écouter en vous trompant vous mêmes par de faux raisonnements. » (Jacq. 1:22)
Beaucoup d'églises, à cause de leurs comités, sont conduites par la sagesse humaine émanant de raisonnements humains dans lesquels la foi est totalement exclue. Elles raisonnent par la vue.
Je pense à l'expérience que fit Yonggi Cho à ce sujet. Dieu lui avait parlé personnellement en lui demandant de cons¬truire une église contenant 10 000 places. Suite de quoi il
alla en parler à ses anciens. Ceux ci commentèrent ainsi leur point de vue:
Le trésorier: Frère Yonggi Cho, savez vous combien va coûter un tel bâtiment? Savez vous combien nous avons en caisse?
Un ancien: Les gens de notre église sont pauvres et ne pourront jamais faire face à de telles dépenses.
Un autre encore: Pasteur, est ce vraiment nécessaire de construire un si grand local?
Yonggi Cho repartit tout triste et, dans son salon, se tour¬nant vers Dieu lui dit: «Tu vois, Seigneur, ils ne veulent pas...» Mais Dieu lui répondit: «Est ce à eux que j'ai demandé de construire cette église?»
Raisonnez comme cette petite fille qui comptait les sous de sa tirelire devant une amie: «J'ai dix sous» dit elle. «Non, reprit l'autre, tu en as exactement cinq comme moi. » «Oui, j'ai dix sous, répéta la première, parce que mon papa m'a dit que lorsqu'il rentrerait ce soir il m'en donnerait cinq autres... Na!»
Dieu a promis de faire la différence entre ce que nous avons et ce qu'il nous faut.
Nous devons toujours raisonner selon ce critère car «nous
renversons les raisonnements». (II Cor. 10:5)
samedi 7 mai 2011
CENT MOTS POUR CENT JOURS
Pardonner
"L'erreur est humaine, le pardon est divin" (A. Pole)
"Le pardon se trouve auprès de toi." (Ps. 130 :4)
Dans ma vie, j'ai demandé pardon à plusieurs catégories de personnes.
Tout d'abord, j'ai demandé pardon à Dieu lors de ma conversion.
Mais lorsque j'étais enfant, j'ai demandé pardon à ma mère. Je m'en souviens comme si c'était aujourd'hui.
C'était vers les années 40; j'avais alors 7 ans. Oh ! comme il pesait sur mon petit cœur le larcin que j'avais commis. Le week end avait trop vite passé et, sur le point de quitter la maison, j'avais remarqué des tickets de pain qui traînaient sur le buffet. Je les avais empochés à la dérobée, mais ma mère s'en rendit compte avant que je franchisse le seuil de l'appartement. Sur le palier, elle me parla sévèrement et me congédia sans un baiser. C'était trop pour mon petit cœur d'enfant; je ne pouvais partir sans l'affection de ma maman et affronter ainsi une nouvelle semaine face à l'indifférence et à la dureté de la vie du pensionnat. Alors je remontai l'étage, sonnai à la porte. Ma mère était à nouveau devant moi :
- Que se passe t il ?
- Pardon maman, éclatai je en sanglots me jetant dans sa robe.
"Notre Dieu ne se lasse pas de pardonner" (Es. 55 :7)
Il m'est arrivé aussi de demander pardon à ma belle mère pour une parole vive et à mon épouse pour une réaction emportée. Si nous voulons garder la paix avec Dieu et jouir d'une vie sans problèmes avec notre entourage, à un moment donné, il faut savoir plier et revenir des mauvaises positions dues à de mauvais propos.
Beaucoup de chrétiens ne sont pas libérés parce qu'ils retien¬nent le pardon. C'est à mon sens le plus grand obstacle au réveil. Car l'orgueil est le lien qui retient le pardon et Dieu résiste aux orgueilleux...
- Seigneur, combien de fois pardonnerai je à mon frère ? Sera-ce jusqu'à sept fois ?
- Non pas sept fois, répondit Jésus à Pierre, mais soixante-dix-sept fois sept fois...
Quand on a compté jusque là, on a pris la forme qui convient !
"Comprendre, c'est pardonner" disait la baronne de Staël. Il y a toujours une cause à l'offense. Les gens ne blessent pas pour rien. Commençons à les comprendre dans leurs agressions qui sont quelquefois des appels, et plus tard ils viendront vers nous avec regrets et repentir.
"Pardonnez comme Dieu vous a pardonné en Christ" (Eph. 4 : 32)
"L'erreur est humaine, le pardon est divin" (A. Pole)
"Le pardon se trouve auprès de toi." (Ps. 130 :4)
Dans ma vie, j'ai demandé pardon à plusieurs catégories de personnes.
Tout d'abord, j'ai demandé pardon à Dieu lors de ma conversion.
Mais lorsque j'étais enfant, j'ai demandé pardon à ma mère. Je m'en souviens comme si c'était aujourd'hui.
C'était vers les années 40; j'avais alors 7 ans. Oh ! comme il pesait sur mon petit cœur le larcin que j'avais commis. Le week end avait trop vite passé et, sur le point de quitter la maison, j'avais remarqué des tickets de pain qui traînaient sur le buffet. Je les avais empochés à la dérobée, mais ma mère s'en rendit compte avant que je franchisse le seuil de l'appartement. Sur le palier, elle me parla sévèrement et me congédia sans un baiser. C'était trop pour mon petit cœur d'enfant; je ne pouvais partir sans l'affection de ma maman et affronter ainsi une nouvelle semaine face à l'indifférence et à la dureté de la vie du pensionnat. Alors je remontai l'étage, sonnai à la porte. Ma mère était à nouveau devant moi :
- Que se passe t il ?
- Pardon maman, éclatai je en sanglots me jetant dans sa robe.
"Notre Dieu ne se lasse pas de pardonner" (Es. 55 :7)
Il m'est arrivé aussi de demander pardon à ma belle mère pour une parole vive et à mon épouse pour une réaction emportée. Si nous voulons garder la paix avec Dieu et jouir d'une vie sans problèmes avec notre entourage, à un moment donné, il faut savoir plier et revenir des mauvaises positions dues à de mauvais propos.
Beaucoup de chrétiens ne sont pas libérés parce qu'ils retien¬nent le pardon. C'est à mon sens le plus grand obstacle au réveil. Car l'orgueil est le lien qui retient le pardon et Dieu résiste aux orgueilleux...
- Seigneur, combien de fois pardonnerai je à mon frère ? Sera-ce jusqu'à sept fois ?
- Non pas sept fois, répondit Jésus à Pierre, mais soixante-dix-sept fois sept fois...
Quand on a compté jusque là, on a pris la forme qui convient !
"Comprendre, c'est pardonner" disait la baronne de Staël. Il y a toujours une cause à l'offense. Les gens ne blessent pas pour rien. Commençons à les comprendre dans leurs agressions qui sont quelquefois des appels, et plus tard ils viendront vers nous avec regrets et repentir.
"Pardonnez comme Dieu vous a pardonné en Christ" (Eph. 4 : 32)
vendredi 6 mai 2011
CENT MOTS POUR CENT JOURS
Pain
Rien qu'à le prononcer, il est devant nos yeux!
Je me revois, enfant, le ramenant à la maison, de chez le boulanger. Plus le trajet était long, et plus l'entame était importante... Le pain frais, chaud et croustillant que l'ado¬lescent engloutit avec plaisir à sa sortie du stade ou de la piscine, qui n'y rattache maints souvenirs?
Ce pain familial, certaines traditions veulent qu'on le rompe plutôt qu'on ne le coupe, symbole de fraternité, continuité de partage.
Que d'histoires et de récits s'y rapportent!
Je laisse parler Thomas Edward Lawrence, officier britanni¬que, surnommé Lawrence d'Arabie:
«Le général Allenby me demanda un jour d'entreprendre, seul, une mission dans le désert. Après avoir laissé derrière moi ma garde de solides soldats, je me mis en route, déguisé en cheik. Puis je me perdis. J'errai durant quelques jours et j'en étais à un tel degré de soif et d'épuisement que je pris conscience de ma mort imminente si je n'étais pas secouru dans les plus brefs délais. Ma langue était terriblement enflée, j'étais près d'étouffer.
C'est dans ces conditions que je parvins vers un groupe d'arabes qui s'installaient pour camper. Lorsqu'ils voya-gent, ils ont pour habitude de prendre leurs repas à deux reprises dans la journée. Le matin, ils font une sorte de pâtée qu'ils transportent en une masse gluante à dos de cha¬meau. Le soir, ils la rôtissent de chaque côté et la mangent, tandis que le repas proprement dit s'apprête.
Ces bédouins étaient justement occupés à manger leur pâte. Je m'approchai d'eux et sollicitai l'hospitalité. Ils m'offri¬rent de l'eau et me donnèrent un morceau de leur gâteau.
13
Au même moment, j'entendis l'un d'eux se féliciter de sa chance, car le jour précédant, à leur dernier campement il avait rencontré d'autres arabes qui lui avaient dit que 10 000 livres étaient offertes par les Turcs pour la capture de Lawrence, mort ou vif.
Si vous aviez été à ma place, vous auriez ressenti quelque chose! Mais vous savez certainement que l'hospitalité est une chose sacrée pour un arabe. Cependant je me posai la question: «que vont ils faire?»
Je pris le morceau qui m'était offert et mordis dedans. La bouche pleine et brandissant de ma main le reste, je leur dis: «Savez vous qui je suis?» «Non» dirent ils. Je le leur dis. La manière dont leurs mâchoires tombèrent fut presque comique. Ils envoyèrent rapidement un message à leur cheik au bout du camp, tandis que j'attendais dans l'incertitude, me demandant si la tentation de me livrer ne surpasserait pas leur tradition.
Après tout, nous, Anglais, avons aussi notre code d'hon¬neur, mais pour le dire tout de go, «chaque homme a son prix» et le mien était de 10 000 livres sterling, ce qui n'était pas une petite somme.
Je n'avais pas besoin de m'en faire. Un ordre fut donné; le camp se leva avant même que le repas ne fut servi. Nous fîmes à la hâte trente kilomètres pour que je sois placé dans une zone hors danger.
Cette aide qu'ils m'apportèrent leur coûta en fait la somme de 10 000 livres qu'ils auraient, à coup sûr, touchée. Mais ils firent ce geste naturellement car j'avais mangé de leur pain.»
Chacun pourra se rendre compte de l'application que l'on peut donner à cette lecture.
«Prenez, mangez, ceci est mon corps qui est rompu pour vous... » (Mat. 26:26)
14
« Comme il y a un seul pain, vous qui êtes plusieurs vous formez un seul corps... » (I Cor. 10:17)
Lorsque, petit, je laissais tomber le pain à terre, mon père le ramassait, l'embrassait et le remettait à la disposition de tous. Du respect pour le pain, certainement il en faut, mais aussi pour ce qu'il représente.
Rien qu'à le prononcer, il est devant nos yeux!
Je me revois, enfant, le ramenant à la maison, de chez le boulanger. Plus le trajet était long, et plus l'entame était importante... Le pain frais, chaud et croustillant que l'ado¬lescent engloutit avec plaisir à sa sortie du stade ou de la piscine, qui n'y rattache maints souvenirs?
Ce pain familial, certaines traditions veulent qu'on le rompe plutôt qu'on ne le coupe, symbole de fraternité, continuité de partage.
Que d'histoires et de récits s'y rapportent!
Je laisse parler Thomas Edward Lawrence, officier britanni¬que, surnommé Lawrence d'Arabie:
«Le général Allenby me demanda un jour d'entreprendre, seul, une mission dans le désert. Après avoir laissé derrière moi ma garde de solides soldats, je me mis en route, déguisé en cheik. Puis je me perdis. J'errai durant quelques jours et j'en étais à un tel degré de soif et d'épuisement que je pris conscience de ma mort imminente si je n'étais pas secouru dans les plus brefs délais. Ma langue était terriblement enflée, j'étais près d'étouffer.
C'est dans ces conditions que je parvins vers un groupe d'arabes qui s'installaient pour camper. Lorsqu'ils voya-gent, ils ont pour habitude de prendre leurs repas à deux reprises dans la journée. Le matin, ils font une sorte de pâtée qu'ils transportent en une masse gluante à dos de cha¬meau. Le soir, ils la rôtissent de chaque côté et la mangent, tandis que le repas proprement dit s'apprête.
Ces bédouins étaient justement occupés à manger leur pâte. Je m'approchai d'eux et sollicitai l'hospitalité. Ils m'offri¬rent de l'eau et me donnèrent un morceau de leur gâteau.
13
Au même moment, j'entendis l'un d'eux se féliciter de sa chance, car le jour précédant, à leur dernier campement il avait rencontré d'autres arabes qui lui avaient dit que 10 000 livres étaient offertes par les Turcs pour la capture de Lawrence, mort ou vif.
Si vous aviez été à ma place, vous auriez ressenti quelque chose! Mais vous savez certainement que l'hospitalité est une chose sacrée pour un arabe. Cependant je me posai la question: «que vont ils faire?»
Je pris le morceau qui m'était offert et mordis dedans. La bouche pleine et brandissant de ma main le reste, je leur dis: «Savez vous qui je suis?» «Non» dirent ils. Je le leur dis. La manière dont leurs mâchoires tombèrent fut presque comique. Ils envoyèrent rapidement un message à leur cheik au bout du camp, tandis que j'attendais dans l'incertitude, me demandant si la tentation de me livrer ne surpasserait pas leur tradition.
Après tout, nous, Anglais, avons aussi notre code d'hon¬neur, mais pour le dire tout de go, «chaque homme a son prix» et le mien était de 10 000 livres sterling, ce qui n'était pas une petite somme.
Je n'avais pas besoin de m'en faire. Un ordre fut donné; le camp se leva avant même que le repas ne fut servi. Nous fîmes à la hâte trente kilomètres pour que je sois placé dans une zone hors danger.
Cette aide qu'ils m'apportèrent leur coûta en fait la somme de 10 000 livres qu'ils auraient, à coup sûr, touchée. Mais ils firent ce geste naturellement car j'avais mangé de leur pain.»
Chacun pourra se rendre compte de l'application que l'on peut donner à cette lecture.
«Prenez, mangez, ceci est mon corps qui est rompu pour vous... » (Mat. 26:26)
14
« Comme il y a un seul pain, vous qui êtes plusieurs vous formez un seul corps... » (I Cor. 10:17)
Lorsque, petit, je laissais tomber le pain à terre, mon père le ramassait, l'embrassait et le remettait à la disposition de tous. Du respect pour le pain, certainement il en faut, mais aussi pour ce qu'il représente.
jeudi 5 mai 2011
CENT MOTS POUR CENT JOURS
OCCASION
«Le péché saisissant l'occasion... » (Rom. 7:8)
«Pendant que nous en avons l'occasion, pratiquons le bien... » (Gal. 6:10)
Dans le livre «Au Nom de tous les Miens», l'auteur, Martin Gray, révèle qu'il a dû sa survie au conseil de son père qui lui avait dit avant de le quitter : «Saisis toujours la première occasion pour te sauver». Ce qu'il fit maintes fois en sautant d'un camion en marche, en passant par une fosse de water, etc. .
Occasion est synonyme d'opportunité.
Smith Wigglesworth disait : «Tout est occasion ! L'homme de foi saisit toutes les occasions. Chaque réunion est une occasion unique pour aller plus profond dans la vie de Dieu. Il est possible d'avoir une réunion extraordinaire et de manquer l'objectif divin à cause d'une inactivité dans la foi, ou d'un manque de soumission à la volonté de Dieu.»
C'est ainsi que l'Évangile peut prendre place dans la vie qui nous offre tant d'occasions de parler, de témoigner.
Je me souviendrai toujours de mon silence coupable au début de mon expérience chrétienne. Militaire à Toulouse, j'avais observé le comportement mélancolique d'une nouvelle recrue, un certain Duval, de Paris comme moi. Adossé à un arbre, il fumait sa pipe en aparté et n'adressait la parole à quiconque. Je me rappelle avoir été sollicité par Dieu, dans mon esprit, à lui parler de Jésus. Mais j'hésitais à rompre la solitude et le silence qu'il s'était imposé. Lorsque je revins de permission après les fêtes de Noël, j'appris avec un grand choc qu'il s'était fait sauter la cervelle avec son arme pendant sa dernière garde.
Quelquefois, nous n'avons qu'une seule occasion !
Dans l'hôtel où nous résidions à Lausanne pendant la mission d'évangélisation, Sergine avait remarqué une jeune femme qui, manifestement, avait de très gros problèmes. Elle a ressenti, par le Saint-Esprit, que son âme était en recherche. Comment faire ? Prier ? Oui, mais aussi agir dans la prière : «Seigneur, demain tu places cette âme sur mon chemin». Le lendemain, c'est le départ de la dame et de son mari. Les bagages sont déjà dans le hall d'entrée, eux sont encore au restaurant. Sergine, ayant besoin d'aller aux toilettes, se retient car elle sait qu'elle ne doit pas s'absenter une minute; en un clin d'œil ils peuvent partir. Elle l'attend donc avec un livre : «Avec Dieu, rien d'impossible», de K. Kuhlmann, ainsi que sa carte de visite. La dame sort, le taxi est devant la porte. Il faut faire vite à présent, ne pas hésiter. Sergine est sur ses talons et, lorsque la dame s'assied, elle lui remet le livre et quelques paroles juste avant que la porte de la voiture ne soit refermée. La voiture démarre. Sergine pousse un «ouf» de soulagement.
L'Esprit-Saint ne sollicite pas toujours deux fois.
«Insiste en toute occasion, favorable ou non. » (II Tim. 4:2)
«Le péché saisissant l'occasion... » (Rom. 7:8)
«Pendant que nous en avons l'occasion, pratiquons le bien... » (Gal. 6:10)
Dans le livre «Au Nom de tous les Miens», l'auteur, Martin Gray, révèle qu'il a dû sa survie au conseil de son père qui lui avait dit avant de le quitter : «Saisis toujours la première occasion pour te sauver». Ce qu'il fit maintes fois en sautant d'un camion en marche, en passant par une fosse de water, etc. .
Occasion est synonyme d'opportunité.
Smith Wigglesworth disait : «Tout est occasion ! L'homme de foi saisit toutes les occasions. Chaque réunion est une occasion unique pour aller plus profond dans la vie de Dieu. Il est possible d'avoir une réunion extraordinaire et de manquer l'objectif divin à cause d'une inactivité dans la foi, ou d'un manque de soumission à la volonté de Dieu.»
C'est ainsi que l'Évangile peut prendre place dans la vie qui nous offre tant d'occasions de parler, de témoigner.
Je me souviendrai toujours de mon silence coupable au début de mon expérience chrétienne. Militaire à Toulouse, j'avais observé le comportement mélancolique d'une nouvelle recrue, un certain Duval, de Paris comme moi. Adossé à un arbre, il fumait sa pipe en aparté et n'adressait la parole à quiconque. Je me rappelle avoir été sollicité par Dieu, dans mon esprit, à lui parler de Jésus. Mais j'hésitais à rompre la solitude et le silence qu'il s'était imposé. Lorsque je revins de permission après les fêtes de Noël, j'appris avec un grand choc qu'il s'était fait sauter la cervelle avec son arme pendant sa dernière garde.
Quelquefois, nous n'avons qu'une seule occasion !
Dans l'hôtel où nous résidions à Lausanne pendant la mission d'évangélisation, Sergine avait remarqué une jeune femme qui, manifestement, avait de très gros problèmes. Elle a ressenti, par le Saint-Esprit, que son âme était en recherche. Comment faire ? Prier ? Oui, mais aussi agir dans la prière : «Seigneur, demain tu places cette âme sur mon chemin». Le lendemain, c'est le départ de la dame et de son mari. Les bagages sont déjà dans le hall d'entrée, eux sont encore au restaurant. Sergine, ayant besoin d'aller aux toilettes, se retient car elle sait qu'elle ne doit pas s'absenter une minute; en un clin d'œil ils peuvent partir. Elle l'attend donc avec un livre : «Avec Dieu, rien d'impossible», de K. Kuhlmann, ainsi que sa carte de visite. La dame sort, le taxi est devant la porte. Il faut faire vite à présent, ne pas hésiter. Sergine est sur ses talons et, lorsque la dame s'assied, elle lui remet le livre et quelques paroles juste avant que la porte de la voiture ne soit refermée. La voiture démarre. Sergine pousse un «ouf» de soulagement.
L'Esprit-Saint ne sollicite pas toujours deux fois.
«Insiste en toute occasion, favorable ou non. » (II Tim. 4:2)
mercredi 4 mai 2011
CENT MOTS POUR CENT JOURS
NON
Mot catégorique que le chrétien doit savoir prononcer.
«Que votre parole soit oui, oui, non, non; ce qu'on y ajoute vient du Malin» (Mat. 5 :37)
Le chrétien qui ne sait pas dire non aux hommes, ne saura pas dire oui à Dieu. C'est par manque de conviction que le chrétien ne prend pas position. Un chrétien engagé dans sa foi doit être clair sur ses choix et sur ses objectifs.
Non au péché sous toutes ses formes, moral ou occulte. Oui à la sainteté.
Non aux compromis. Oui à la Parole de Dieu.
Non aux hommes. Oui à Dieu.
Non à la paresse. Oui à la ferveur et au zèle.
Non à la médiocrité. Oui à l'efficacité.
Non à la peur, à la crainte. Oui à l'audace.
Non à la maladie. Oui à la santé.
Non à l'amour de l'argent. Oui à la libéralité.
Non à l'activisme, drogue de la chair. Oui à l'activité.
Non à ma volonté. Oui à celle du Saint Esprit.
Non à mon amour propre. Oui à l'humilité.
« Y a-t-il en moi le OUI et le NON?» (II Cor. 1 : 17)
Le oui et le non correspondent finalement à des actions plus qu'à des mots. Ce sont ces gestes, ces actes de la vie qui donnent la réponse sur nos choix et nos préférences.
Jésus l'a bien démontré dans la parabole des deux fils : «Le père dit à un de ses fils : Va, fais cela. Le fils dit : Oui papa, et il ne le fit pas. Le père dit à son autre fils : Va, mon fils, et fais ce/a. Celui-ci dit : Non papa. Et finalement le fit. Et Jésus questionna : - Lequel, selon vous, a fait la volonté de son père?»
La réponse est claire.
Je vais montrer et démontrer par mes actions la réalité de mon engagement.
Mot catégorique que le chrétien doit savoir prononcer.
«Que votre parole soit oui, oui, non, non; ce qu'on y ajoute vient du Malin» (Mat. 5 :37)
Le chrétien qui ne sait pas dire non aux hommes, ne saura pas dire oui à Dieu. C'est par manque de conviction que le chrétien ne prend pas position. Un chrétien engagé dans sa foi doit être clair sur ses choix et sur ses objectifs.
Non au péché sous toutes ses formes, moral ou occulte. Oui à la sainteté.
Non aux compromis. Oui à la Parole de Dieu.
Non aux hommes. Oui à Dieu.
Non à la paresse. Oui à la ferveur et au zèle.
Non à la médiocrité. Oui à l'efficacité.
Non à la peur, à la crainte. Oui à l'audace.
Non à la maladie. Oui à la santé.
Non à l'amour de l'argent. Oui à la libéralité.
Non à l'activisme, drogue de la chair. Oui à l'activité.
Non à ma volonté. Oui à celle du Saint Esprit.
Non à mon amour propre. Oui à l'humilité.
« Y a-t-il en moi le OUI et le NON?» (II Cor. 1 : 17)
Le oui et le non correspondent finalement à des actions plus qu'à des mots. Ce sont ces gestes, ces actes de la vie qui donnent la réponse sur nos choix et nos préférences.
Jésus l'a bien démontré dans la parabole des deux fils : «Le père dit à un de ses fils : Va, fais cela. Le fils dit : Oui papa, et il ne le fit pas. Le père dit à son autre fils : Va, mon fils, et fais ce/a. Celui-ci dit : Non papa. Et finalement le fit. Et Jésus questionna : - Lequel, selon vous, a fait la volonté de son père?»
La réponse est claire.
Je vais montrer et démontrer par mes actions la réalité de mon engagement.
mardi 3 mai 2011
CENT MOTS POUR CENT JOURS
Maintenant
«Tout ce qui est arrivé dans ma vie jusqu'à ce moment est sans importance, quels qu'en furent les sujets, par rapport à ce que Dieu est pour moi maintenant.»
(Smith Wigglesworth)
Hier est passé, demain n'est pas encore là, maintenant est le moment qui passe à portée de main.
« Voici maintenant le temps favorable, voici maintenant le jour du salut. » (II Cor. 6:2)
Quelques fois dans notre vie, c'est maintenant ou jamais.
On raconte que dans certains pays du Nord, les habitants vivaient autrefois des œufs d'oiseaux de mer qui construisaient leur nid au flanc des falaises abruptes. Un certain jour un homme, parti à la recherche de ces œufs, remarqua au dessous de lui, à une centaine de mètres, un grand nid. Depuis l'endroit où il se tenait, il était extrêmement difficile d'atteindre ce lieu qu'il surplombait à pic. Mais il se décida à tenter l'aventure.
Après avoir solidement enfoncé un gros pieu, il déroula donc une longue corde et se laissa glisser dans le vide le long de la falaise jusqu'à la hauteur du nid. Mais celui ci étant en retrait, il dut faire osciller la corde en remuant son corps et, par amplitude, se rapprocher de la saillie. Ce fut fatigant, mais il parvint à toucher du pied l'étroit éperon. Il décida donc, au prochain retour de la corde, de sauter. Il ne fallait à aucun prix qu'il perde l'équilibre, sinon la chute et la mort l'attendaient. D'un saut agile, il s'élança et s'agrippa à la paroi. Mais dans ce mouvement il perdit la corde qui repartit en arrière. Il crut sa situation désespérée car, dans les alentours, personne qui puisse le secourir. Du regard il suivait la corde qui allait et revenait et s'éloignait à nouveau.
Il comprit en une fraction de seconde qu'il lui fallait agir à la prochaine oscillation tandis qu'il en était encore temps. C'est maintenant ou jamais, pensa t il. Prenant son courage à deux mains il s'élança dans un bond impressionnant et réussit à attraper sa corde au vol au moment où elle revenait à lui. Ce fut son salut. Ayant eut l'audace de s'élancer dans le vide, il avait gagné.
II y a des choses dans la vie qui doivent être faites maintenant.
«Tout ce qui est arrivé dans ma vie jusqu'à ce moment est sans importance, quels qu'en furent les sujets, par rapport à ce que Dieu est pour moi maintenant.»
(Smith Wigglesworth)
Hier est passé, demain n'est pas encore là, maintenant est le moment qui passe à portée de main.
« Voici maintenant le temps favorable, voici maintenant le jour du salut. » (II Cor. 6:2)
Quelques fois dans notre vie, c'est maintenant ou jamais.
On raconte que dans certains pays du Nord, les habitants vivaient autrefois des œufs d'oiseaux de mer qui construisaient leur nid au flanc des falaises abruptes. Un certain jour un homme, parti à la recherche de ces œufs, remarqua au dessous de lui, à une centaine de mètres, un grand nid. Depuis l'endroit où il se tenait, il était extrêmement difficile d'atteindre ce lieu qu'il surplombait à pic. Mais il se décida à tenter l'aventure.
Après avoir solidement enfoncé un gros pieu, il déroula donc une longue corde et se laissa glisser dans le vide le long de la falaise jusqu'à la hauteur du nid. Mais celui ci étant en retrait, il dut faire osciller la corde en remuant son corps et, par amplitude, se rapprocher de la saillie. Ce fut fatigant, mais il parvint à toucher du pied l'étroit éperon. Il décida donc, au prochain retour de la corde, de sauter. Il ne fallait à aucun prix qu'il perde l'équilibre, sinon la chute et la mort l'attendaient. D'un saut agile, il s'élança et s'agrippa à la paroi. Mais dans ce mouvement il perdit la corde qui repartit en arrière. Il crut sa situation désespérée car, dans les alentours, personne qui puisse le secourir. Du regard il suivait la corde qui allait et revenait et s'éloignait à nouveau.
Il comprit en une fraction de seconde qu'il lui fallait agir à la prochaine oscillation tandis qu'il en était encore temps. C'est maintenant ou jamais, pensa t il. Prenant son courage à deux mains il s'élança dans un bond impressionnant et réussit à attraper sa corde au vol au moment où elle revenait à lui. Ce fut son salut. Ayant eut l'audace de s'élancer dans le vide, il avait gagné.
II y a des choses dans la vie qui doivent être faites maintenant.
lundi 2 mai 2011
CENT MOTS POUR CENT JOURS
Main
«Dieu met un sceau sur la main de tous les hommes. » (Job 37:7)
La main est une marque physique de la supériorité de l'homme sur l'animal. Dieu a délégué à la main un certain pouvoir créateur. Ceci éclate dans les oeuvres artistiques ou artisanales. L'homme est un créateur. La main est un thème très important dans la Parole de Dieu.
Depuis la recommandation de Jésus «que ta main gauche ignore ce que donne ta droite» (Mat. 6:3) jusqu'à l'appel à la sainteté: «que les hommes élèvent des mains pures» (I Tim. 2 : 8) en passant par «la main d'association», il y a toute une gamme.
La main a aussi un pouvoir affectif. On transmet par la traditionnelle «poignée de main» des sentiments de camaraderie selon qu'elle est énergique, ou d'indifférence totale si elle est molle. La main de la maman est un facteur sécurisant pour le bébé, et celle de la «mama » soporise «le petit» pour le sommeil. Celle du père est surveillée attentivement par son garçon qui découvre par elle les notions d'habileté et de force. Quant à celle de l'institutrice, elle force l'admiration des élèves par les belles volutes blanches laissées sur le tableau noir par la craie.
Le psalmiste, quant à lui, réalise que Dieu «exerce ses mains au combat» (Ps. 18 : 35).
Les mains sont souvent le terminus physique des actions de Dieu. Les mains de Jésus ont multiplié le pain, elles ont placé la boue dans les orbites creuses de l'aveugle, ou pris sa main pour le conduire hors du village. Le lépreux «ô miracle ! quelqu'un le touchait» en a senti la chaleur compatissante sur son épiderme crevassé. Puis, finalement, les mains de Jésus percées sur la croix déterminent la plus grande des actions : celle du salut de l'homme.
Nous sommes interpellés aussi à ne pas avoir une main lâche. Elle appauvrit. (Prov. 10 : 4)
Dans une ville de France, il y avait une belle statue devant une église. Elle représentait Jésus, les bras grands ouverts. Au cours de la seconde guerre mondiale, des bombes sont tombées à proximité, et la statue a été brisée. Après la libération, les habitants de la ville ont travaillé dur pour restaurer l'église. Et ils ont aussi voulu restaurer leur statue. Ce n'était pas un «Michel-Ange», mais ils y étaient attachés quand même. Ils ont donc ramassé les morceaux et les ont rassemblés de leur mieux. Même les cicatrices des réparations ajoutaient à sa beauté. Mais ils n'ont rien trouvé des mains et, à ce jour, on peut voir cette statue de Jésus sans mains. Quelqu'un a protesté : «On ne peut pas avoir un Christ sans mains ! Qu'est-ce que notre Christ sans ses mains ?» Mais un autre a eu une meilleure idée dont on a fait une plaque de cuivre que l'on a placée sur le socle de la statue. Elle dit : "Je n'ai d'autres mains que les tiennes." Un peu plus tard, un visiteur vit cette plaque qui lui inspira ces lignes :
«J'ai besoin de tes deux mains pour remplir mes desseins. Et c'est ton pied qui doit guider les hommes vers mon chemin. Par tes lèvres je peux leur dire que je suis mort pour eux. Et c'est ta vie que je sanctifie pour les conduire à Dieu.»
Voyez-vous, le seul moyen pour Christ de tendre les bras et d'imposer ses mains pour bénir les autres, c'est à travers vous.
«Dieu met un sceau sur la main de tous les hommes. » (Job 37:7)
La main est une marque physique de la supériorité de l'homme sur l'animal. Dieu a délégué à la main un certain pouvoir créateur. Ceci éclate dans les oeuvres artistiques ou artisanales. L'homme est un créateur. La main est un thème très important dans la Parole de Dieu.
Depuis la recommandation de Jésus «que ta main gauche ignore ce que donne ta droite» (Mat. 6:3) jusqu'à l'appel à la sainteté: «que les hommes élèvent des mains pures» (I Tim. 2 : 8) en passant par «la main d'association», il y a toute une gamme.
La main a aussi un pouvoir affectif. On transmet par la traditionnelle «poignée de main» des sentiments de camaraderie selon qu'elle est énergique, ou d'indifférence totale si elle est molle. La main de la maman est un facteur sécurisant pour le bébé, et celle de la «mama » soporise «le petit» pour le sommeil. Celle du père est surveillée attentivement par son garçon qui découvre par elle les notions d'habileté et de force. Quant à celle de l'institutrice, elle force l'admiration des élèves par les belles volutes blanches laissées sur le tableau noir par la craie.
Le psalmiste, quant à lui, réalise que Dieu «exerce ses mains au combat» (Ps. 18 : 35).
Les mains sont souvent le terminus physique des actions de Dieu. Les mains de Jésus ont multiplié le pain, elles ont placé la boue dans les orbites creuses de l'aveugle, ou pris sa main pour le conduire hors du village. Le lépreux «ô miracle ! quelqu'un le touchait» en a senti la chaleur compatissante sur son épiderme crevassé. Puis, finalement, les mains de Jésus percées sur la croix déterminent la plus grande des actions : celle du salut de l'homme.
Nous sommes interpellés aussi à ne pas avoir une main lâche. Elle appauvrit. (Prov. 10 : 4)
Dans une ville de France, il y avait une belle statue devant une église. Elle représentait Jésus, les bras grands ouverts. Au cours de la seconde guerre mondiale, des bombes sont tombées à proximité, et la statue a été brisée. Après la libération, les habitants de la ville ont travaillé dur pour restaurer l'église. Et ils ont aussi voulu restaurer leur statue. Ce n'était pas un «Michel-Ange», mais ils y étaient attachés quand même. Ils ont donc ramassé les morceaux et les ont rassemblés de leur mieux. Même les cicatrices des réparations ajoutaient à sa beauté. Mais ils n'ont rien trouvé des mains et, à ce jour, on peut voir cette statue de Jésus sans mains. Quelqu'un a protesté : «On ne peut pas avoir un Christ sans mains ! Qu'est-ce que notre Christ sans ses mains ?» Mais un autre a eu une meilleure idée dont on a fait une plaque de cuivre que l'on a placée sur le socle de la statue. Elle dit : "Je n'ai d'autres mains que les tiennes." Un peu plus tard, un visiteur vit cette plaque qui lui inspira ces lignes :
«J'ai besoin de tes deux mains pour remplir mes desseins. Et c'est ton pied qui doit guider les hommes vers mon chemin. Par tes lèvres je peux leur dire que je suis mort pour eux. Et c'est ta vie que je sanctifie pour les conduire à Dieu.»
Voyez-vous, le seul moyen pour Christ de tendre les bras et d'imposer ses mains pour bénir les autres, c'est à travers vous.
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